Quelle maladie mentale affecte Arthur Fleck dans les films Joker ?
Arthur Fleck souffre de plusieurs troubles mentaux, notamment d'un trouble de la personnalité avec des épisodes de psychose et de dépression sévère. Son rire incontrôlable, symptôme d'une condition neurologique rare, accentue son isolement et sa lutte pour se connecter à la société.
Tl;dr
- Joker: Folie à Deux explore encore plus profondément l’état mental d’Arthur Fleck.
- Aucun diagnostic précis de la maladie mentale d’Arthur n’est confirmé dans le film.
- Le film propose des interprétations variées de l’état mental d’Arthur, y compris le trouble dissociatif de l’identité.
Plongée dans l’esprit tourmenté d’Arthur Fleck
Dans Joker: Folie à Deux, nous plongeons plus profondément dans l’état mental complexe d’Arthur Fleck. Le personnage, interprété avec brio par Joaquin Phoenix, est développé bien au-delà de ce qu’il était dans le premier film. Malgré les nombreuses références à l’univers DC, le film maintient le réalisme du Joker, un personnage ancré dans la réalité.
Quelle maladie mentale pour Arthur Fleck ?
L’état mental d’Arthur est au cœur du film, notamment grâce à une intrigue judiciaire qui explore les entrailles de ses pensées. Alors que les avocats d’Arthur tentent d’éviter la peine de mort, de nombreuses questions sur sa maladie mentale sont soulevées. Cependant, ni Joker ni Joker 2 ne précisent quelle maladie mentale Arthur pourrait avoir.
Spéculations et réalité
De nombreuses spéculations ont émergé en dehors du film. Selon le site de la Bibliothèque nationale de médecine, Arthur souffrirait d’un trouble neurologique appelé effet pseudobulbaire, causé par une lésion cérébrale et provoquant des accès de rire. C’est une hypothèse intéressante, mais il faut noter que les troubles neurologiques diffèrent des maladies mentales.
Des interprétations variées
Dans Joker: Folie à Deux, le film explore d’autres interprétations de l’état mental d’Arthur. Lors de son procès pour les meurtres commis dans le premier film, on suggère qu’Arthur pourrait souffrir de trouble dissociatif de l’identité. Cependant, cette théorie est réfutée par un autre médecin qui attribue les actions du Joker à une anxiété sévère, à la solitude et au SSPT lié à des abus subis dans son enfance.
On en pense quoi ?
Joker: Folie à Deux offre une exploration fascinante de l’état mental d’Arthur Fleck. Bien que l’absence de diagnostic précis puisse frustrer certains, elle reflète la complexité réelle des troubles mentaux. C’est une œuvre audacieuse qui invite à une réflexion profonde sur la santé mentale et la responsabilité judiciaire.
