« C'était un peu pour me la péter »... les cartes métal valent-elles vraiment leur coût ?
N26, Revolut, BoursoBank et Nickel, notamment, ont démocratisé les cartes en métal, en les mettant à la portée de tous. Ceux qui ont sauté le pas en sont-ils satisfaits ? Voici un florilège des témoignages recueillis sur le forum d'entraide de MoneyVox.
La tendance a été lancée, il y a près de 6 ans, par N26. Puis Revolut, BoursoBank, Nickel et d'autres lui ont emboîté le pas. Désormais, le métal, longtemps réservé aux cartes bancaires les plus exclusives du monde, est à la portée de tous, à condition d'y mettre le prix : de 8,75 euros (Nickel Chrome Metal) à 45 euros (Revolut Ultra) par mois (1).
BoursoBank, Nickel, Revolut : qui a la meilleure carte métal du marché ?
Cette tendance, toutefois, reste aujourd'hui circonscrite à quelques établissements qui ont en commun de ne pas disposer d'agences. Et ce n'est pas tout à fait un hasard. Dans ce type de relation bancaire 100% à distance, la carte bancaire devient le seul lien tangible du client avec sa banque et prend donc une charge symbolique plus forte. Résultat : aucune des marques que nous avons interrogées ne compte revenir en arrière. « Nous sommes (...) satisfaits des résultats commerciaux de cette offre, qui continuent d'augmenter d'année en année avec notamment des derniers mois record en termes de souscription », indique Nickel. Revolut, la néobanque britannique, observe de son côté « une singularité en France où les plans payants les plus haut de gamme (Metal et Ultra) sont spécialement populaires ».
