Péages d’autoroutes : Découvrez la hausse des tarifs à partir du 1er février
L'augmentation annuelle des tarifs de péage dépend de la révision des contrats établis entre l'État et les concessionnaires, selon le ministère délégué aux Transports. Comment cette révision impacte-t-elle votre voyage quotidien ?
Tl;dr
- Les tarifs de péage augmentent en moyenne de 0,92% en février 2025.
- La hausse des tarifs varie selon les concessionnaires comme Vinci, ASF, Cofiroute et autres.
- Le Ministère de la Transition écologique justifie cette hausse comme la révision annuelle des contrats.
La hausse des tarifs de péage en France
À partir de février 2025, les automobilistes français devront faire face à une augmentation des tarifs de péage. Une hausse qui, selon le ministère délégué aux Transports, relève de «la révision annuelle des contrats prévue entre l’État et les concessionnaires».
Les conséquences pour les automobilistes
Les tarifs appliqués par les différents concessionnaires, tels que Vinci, Cofiroute, APRR, et d’autres, augmentent en moyenne de + 0,92 %. Par exemple, selon la grille des tarifs dévoilée par Vinci pour 2025, un trajet Lyon / Avignon coûtera désormais 23 euros, contre 22,80 euros en 2024. De même, un voyage de Nîmes à Perpignan coûtera 21,80 euros en 2025, contre 21,40 euros l’année précédente.
La justification du gouvernement
Le ministère de la Transition écologique insiste sur le fait que cette évolution des prix relève de « la révision annuelle des contrats prévue entre l’État et les concessionnaires ». D’après le ministère, cette augmentation serait la plus faible depuis 2021, et serait « bien inférieure à l’inflation hors tabac pendant la période de référence concernée (octobre 2023 à octobre 2024) qui est de 1,1 % ».
Malgré cette annonce qui peut sembler préoccupante pour les automobilistes, le ministre délégué aux Transports, François Durovray, a souligné que cette hausse des tarifs de péage en 2025 serait la plus faible depuis 2021, et a déclaré que « c’est une très bonne nouvelle pour le pouvoir d’achat des ménages ». Il reste à voir si cette hausse, bien que faible en pourcentage, sera effectivement perçue comme une bonne nouvelle par les usagers routiers.
