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Congé menstruel ou « 2e parent » : la justice retoque Grenoble, qui maintient l’un d’eux

Congé menstruel ou « 2e parent » : la justice retoque Grenoble, qui maintient l’un d’eux
Publié le , mis à jour le

La municipalité de Grenoble a annoncé, ce 18 février, le maintien de son congé « 2e parent », en dépit de la suspension de deux délibérations récentes par le tribunal administratif. Celles-ci, visant à instaurer de nouveaux congés pour les agents municipaux, incluaient un congé « 2e parent » et un autre pour la « santé menstruelle ».  

La Ville de Grenoble a annoncé le maintien de son congé « 2e parent » en dépit d'une décision du tribunal administratif, ce mardi 18 février, qui a ordonné la suspension de deux délibérations récentes prises par le conseil municipal et le conseil métropolitain de la Ville visant à instaurer de nouveaux congés pour les agents municipaux, dont un congé pour le « 2e parent » et un autre pour la « santé menstruelle ». En outre, le tribunal a estimé que ce type de décision ne relevait pas de la compétence du conseil municipal.  

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Concernant les deux délibérations annulées, la première, adoptée le 16 décembre 2024, prévoyait la mise en place d’une autorisation spéciale d’absence, dite « congé paternité » ou « 2e parent », afin d’offrir un congé similaire au congé maternité après la naissance d'un enfant. La seconde délibération, votée le 20 décembre 2024 par la Métropole de Grenoble, concernait plusieurs nouvelles autorisations spéciales d'absence, dont...

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