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"Je gère ma pédagogie comme je l'entends" : jugée pour harcèlement après le suicide d'Evaëlle, l'enseignante estime ne "pas avoir commis d'erreur"

"Je gère ma pédagogie comme je l'entends" : jugée pour harcèlement après le suicide d'Evaëlle, l'enseignante estime ne "pas avoir commis d'erreur"
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Ce lundi 10 mars 2025 s'ouvre le procès Evaëlle. Une enseignante est jugée pour harcèlement, après que la petite fille de 11 ans se soit suicidée il y a six ans. Pour nos confrères du journal Le Parisien, elle a accepté de répondre à ces accusations.

Le 21 juin 2019, Marie et Sébastien Dupuis faisaient face à la mort de leur fille de 11 ans, Evaëlle, s'étant suicidée dans sa chambre. Elle souffrait de harcèlement scolaire qui avait "dégradé ses conditions de vie", selon la juge d'instruction. Durant toute son année de 6ème, au sein du collège Isabelle-Autissier d'Herblay-sur-Seine dans le Val-d'Oise, la fillette souffrait des moqueries constantes de la part de ses camarades de classe, mais également de sa professeure de français. D'ailleurs, les différents témoignages indiquent que les élèves auraient été influencés par cette enseignante. Six ans après le drame, elle est jugée ce lundi 10 mars 2025 pour harcèlement moral sur mineur de 15 ans. Si elle nie toujours les faits qui lui sont reprochés, Pascale L. a pour autant accepté de répondre aux questions de nos confrères du Parisien.

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