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"La mauvaise qualité, ça coûte : on achète plus souvent" : cette nouvelle étiquette va vous aider à mieux acheter vos vêtements

"La mauvaise qualité, ça coûte : on achète plus souvent" : cette nouvelle étiquette va vous aider à mieux acheter vos vêtements
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Ce matin, à la veille du " Black Friday ", Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique, de l’Energie, du Climat et de la Prévention des risques lance la consultation publique sur l’affichage du coût environnemental de nos vêtements visant à informer les consommateurs de l’impact environnemental de leurs achats. À cette occasion, elle a accordé un entretien exclusif à Femme actuelle.

Issue de la loi climat et résilience d’aout 2021, l’affichage du coût environnemental d’un vêtement est attendu de longue date. En mars dernier, le gouvernement dévoilait la méthode de calcul, qui a fait depuis l’objet d’une concertation. Son but ? Mesurer l’impact écologique d’un vêtement tout au long de son cycle de vie, de sa fabrication et sa fin de vie en tenant compte des matières premières utilisées, de la transformation, du transport, de sa durée de vie, de son recyclage, et des modalités de destruction…

Il faut dire que le sujet pèse lourd. L’industrie de la mode fait partie des secteurs d’activité les plus polluants. Elle représente 8 % des émissions de gaz à effet de serre, soit entre deux et trois fois plus que le secteur aérien. Et l’on consomme toujours plus. Selon l’Ademe (Agence (...)

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