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L'une d'entre elles se sent "responsable”, une autre donne à son conjoint sa "confiance totale" : au procès des viols de Mazan les compagnes des accusés refusent d’y croire

L'une d'entre elles se sent "responsable”, une autre donne à son conjoint sa "confiance totale" : au procès des viols de Mazan les compagnes des accusés refusent d’y croire
Publié le , mis à jour le

Après huit jours d’interruption, le procès des viols de Mazan a repris ce lundi 4 novembre avec l'examen des cas de huit nouveaux accusés. Dans la salle, leurs conjointes ou ex-conjointes oscillent entre colère, incompréhension mais également compassion…

C’est un procès hors-norme qui a repris ce lundi 4 novembre au tribunal pénal d’Avignon. Le procès des viols de Mazan a débuté en septembre dernier et se poursuivra jusqu’à décembre prochain. Quatre mois pour examiner le cas de 51 hommes, accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot alors qu’elle était droguée, soumise chimiquement par son mari, Dominique Pelicot. Depuis ce début de semaine, les cas de huit nouveaux hommes sont examinés par la cour et à la sortie de l’audience, ce lundi 4 novembre, nos confrères de Sud-Ouest sont allés recueillir les réactions des conjointes ou ex-conjointes de ces hommes. Et leurs réactions ne sont pas forcément celles qu’on attendait.

Si certaines sont en colère, atterrées, voire détruites, d’autres au contraire montrent de la compassion envers leur partenaire, expliquant leurs actes et allant, parfois, jusqu’à “endosser la responsabilité”, rapporte Sud-Ouest. Samira T. cherche par exemple “des réponses à [ses] (...)

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