Marina Ovsiannikova : après des analyses, la journaliste russe déclare ne pas avoir été empoisonnée
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Ce jeudi 12 octobre, la journaliste russe, Marina Ovsiannikova, réfugiée dans la capitale, connue pour avoir brandi à la télévision d’État russe une pancarte dénonçant l’invasion de l’Ukraine, avait fait un malaise en sortant de chez elle. Une enquête avait donc été ouverte à Paris pour « suspicion d’empoisonnement ».
Elle avait fait irruption, en mars dernier, pendant le journal télévisé le plus regardé de Russie avec une pancarte critiquant l’offensive militaire en Ukraine et la « propagande » des médias contrôlés par le pouvoir. Marina Ovsiannikova, journaliste russe, avait ensuite été détenue, puis relâchée avec une amende à payer. Elle avait ensuite trouvé refuge en France. Ce jeudi 12 octobre, elle a eu un malaise en ouvrant la porte de son appartement. Une enquête pour « suspicion d’empoisonnement » a donc été ouverte.
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« Aucune substance toxique n’a été trouvée »
La journaliste qui s’est sentie « malade » a ainsi été hospitalisée. « Les amis, je suis en effet à l’hôpital. Je n’ai pas parlé aux journalistes et j’espérais pouvoir garder cette information secrète », a-t-elle fait savoir ce vendredi 13 octobre. Elle a également affirmé qu’aucune « poudre blanche » suspecte ne se trouvait sur la poignée de sa porte, contrairement à ce qui a été…