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Mort d'Émile : pourquoi le suicide du prêtre qui l'a baptisé pourrait ne pas faire l'objet d'une enquête

Mort d'Émile : pourquoi le suicide du prêtre qui l'a baptisé pourrait ne pas faire l'objet d'une enquête
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En mars dernier, le prêtre qui avait baptisé Émile s'est suicidé en laissant une lettre. Alors que son domicile a été perquisitionné quelques jours plus tard, le procureur de la République estime désormais que son décès ne devrait pas nécessiter l'ouverture d'une enquête.

Depuis le jeudi 13 mars 2025, l'enquête autour de la mort du petit Émile a repris de plus belle. Depuis ce jour où les enquêteurs ont fait de nouvelles saisies dans le village du Haut-Vernet (Alpes-de-Hautes-Provence), tout le monde s'interroge sur quelle hypothèse pourrait être la plus probable. Un an et demi après la disparition et le décès du garçonnet, personne ne sait qui est le responsable. Néanmoins, la théorie de l'accident semble de plus en plus écartée par les équipes de la "cellule Émile". Alors que Philippe et Anne Vedovini, ses grands-parents maternels, et deux de leurs enfants majeurs ont été placés en garde à vue pour "homicide volontaire" et "recel de cadavre" avant d'être relâchés sans charges, la piste du drame familial n'est toujours pas refermée. Le 15 mars dernier, les enquêteurs découvraient que le père Claude Gilliot, qui avait baptisé Émile, s'était suicidé en laissant une lettre. Mais pour le (...)

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