Pourquoi les proches des deux Françaises disparues en Grèce estiment l’accident peu probable

Jeudi 20 juin 2024, huit jours après la disparition de Françoise Boutteaux et Marie-Pierre Arfel, leurs proches se sont livrés auprès de Var-Matin. Pour eux, plusieurs éléments “ne collent pas” avec l’hypothèse d’un accident de randonnée.
Voilà bientôt deux semaines que Françoise Boutteaux et Marie-Pierre Arfel n’ont plus donné signe de vie. Ces deux Françaises respectivement âgées de 73 et 64 ans ont disparu lors d’une randonnée pendant leurs vacances à Sikinos, petite île grecque des Cyclades, mercredi 12 juin 2024. Alors que le pays connaît actuellement une violente canicule, ayant déjà causé la mort de trois touristes étrangers eux aussi partis en randonnée, les autorités locales penchent pour la thèse de l’accident. Pourtant, leurs proches ont des doutes. Comme ils l’ont expliqué à nos confrères de Var-Matin, dans un article publié le 20 juin, certains éléments ne collent pas. D’abord, il y a ce fameux appel au gérant de l’hôtel où séjournaient Françoise Boutteaux et Marie-Pierre Arfel. Il dit avoir reçu une photo montrant l’une d’elle allongée au sol, après une chute, mais n’avoir pas réussi à obtenir plus de détails à cause de la barrière de la langue. Mais d’après ses enfants, (...)
À lire aussi sur Femme Actuelle: