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Reconstitution du meurtre de Karine Esquivillon, les enquêteurs affirment que "la thèse volontaire peut être soutenue"

Reconstitution du meurtre de Karine Esquivillon, les enquêteurs affirment que "la thèse volontaire peut être soutenue"
Publié le , mis à jour le

Le 27 mars 2023, Karine Esquivillon mourait d’une balle reçue dans le flanc, tirée à la carabine par son mari Michel Pialle. D’après celui-ci, le tir était "accidentel". Ce mardi 15 octobre 2024, une reconstitution des faits en présence de l’accusé doit avoir lieu afin d’éclaircir les circonstances du drame.

C’est une nouvelle étape dans l’affaire du meurtre de Karine Esquivillon. La mère de famille de 54 ans avait été déclarée disparue le 3 avril 2023. Michel Pialle, son époux et père de ses trois derniers enfants, avait assuré qu’il s’agissait d’une disparition volontaire. "Je ne vais pas donner de nouvelles pendant quelque temps. Je suis dans un endroit où il fait chaud. Je crois qu'il va y avoir des orages...", aurait-elle envoyé à ses enfants le 31 mars 2023, comme le racontait à l’époque Michel Pialle à nos confrères du journal Le Figaro. Trois semaines plus tard, le principal suspect avait finalement avoué, lors de sa garde à vue, avoir tué son épouse "par accident" le 27 mars 2023. Selon une information du Parisien, le quinquagénaire, mis en examen pour "meurtre sur conjoint" a été extrait de prison et transporté à son domicile de Maché (Vendée) ce mardi 15 octobre 2024, dans (...)

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