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Vivement lundi: le «Dry January»

Vivement lundi: le «Dry January»
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J’ai bêtement cru que «Dry January» et «January Dry», c’était pareil. Et «January Dry», ça ressemble quand même vachement au nom d’un cocktail à base de vermouth qu’il faut mélanger au shaker et pas à la cuillère.

Chaque samedi, Louison chronique un objet ou un événement de notre quotidien.

Alors d’abord, même si presque plus personne ne s’envoie de messages et que seulement 1% de la population mondiale a encore l’énergie d’écrire des cartes de vœux, permettez-moi de vous souhaiter à toutes et tous une bonne année 2024.

Ou plutôt, en étant plus réaliste, de vous souhaiter une année 2024. Tout court.

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Eh oui, pour celles et ceux qui ouvriraient enfin un œil après deux semaines sans interruption d’un combo gastro-grippe, nous sommes le sixième jour de cette nouvelle année.

Ça passe pas vite, hein.

Six jours, ressenti mi-mars.

Bref, six jours, et on a déjà dû se coltiner 418 rumeurs de remaniement du gouvernement.

Comme si 1., on connaissait les noms de celles et ceux qui y sont déjà et les intitulés exacts de leurs mises en examen et 2., on allait faire l’effort d’apprendre les noms …

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