
Alain-Fabien Delon : Le domaine de Douchy insalubre ? « Je n’arrive plus à vivre dans cet univers toxique… »

Ces derniers temps, les Delon ne manquent pas de faire parler d’eux… Pour cause, après la polémique entre Anthony et Anouchka Delon, c’est au tour d’Alain-Fabien Delon de prendre la parole. Ainsi, lors d’une entrevue accordée à Paris Match ce 10 janvier 2024, le cadet a confié avoir également porté plainte contre sa soeur Anouchka. Par ailleurs, cette décision n’a pas été facile pour ce dernier. »Je n’en avais pas envie, mais je prends mes responsabilités. On n’a plus le choix. Je vous cite une réponse que j’ai faite aux gendarmes récemment qui résume tout : Je porte cette plainte car je n’arrive plus à vivre dans cet univers toxique depuis six mois« , a-t-il avoué aux journalistes.
Alain-Fabien Delon : « Je suis tout seul la plupart du temps à essayer de rafistoler une maison où tout est cassé«
Si la vie aux côtés de son père devient de plus en plus difficile, les conditions de vie n’améliorent pas la situation. De ce fait, Alain-Fabien Delon a fait part de son épuisement mental face aux problèmes qu’il doit affronter au sein du domaine. « Je fume à nouveau, je suis en train de me perdre ici, je suis tout seul la plupart du temps à essayer de rafistoler une maison où tout est cassé, où l’électricité ne marche pas. Je suis toute la journée en train de gérer des employé. Les états d’âme des uns et des autres, gérer mon père qui me demande sans cesse si on est le matin ou le soir. Et voilà qu’à présent on m’accuse d’horreurs. Le venin qui se répand sur les réseaux sociaux m’affecte terriblement » a-t-il déploré.
L’état de santé d’Alain Delon continue de se dégrader
Une question demeure incertaine, l’état d’Alain Delon va-t-il s’améliorer ? Malheureusement, les nouvelles ne sont pas rassurantes et affectent énormément le dernier de ses enfants. Ainsi, il confiait toujours dans les colonnes de Paris-match : « Les débuts ont été difficiles. J’ai dû faire venir un médecin tous les jours pour perfuser papa qui refusait de s’alimenter et de boire. Plusieurs fois il m’a montré par des signes ou dit qu’il voulait en finir. Je n’avais pas versé une larme depuis deux ans, il a réussi à me faire pleurer. Il était tellement mal, mais il a survécu« .