Angèle Salentino vs Sarah Fraisou : Andréane Chamberland et Evy témoignent sur l'enfer psychologique qu'elles ont vécu et ça fait mal !

En pleine polémique concernant des accusations de harcèlement, Andréane Chamberland et Evy apportent un nouveau témoignage contre Sarah Fraisou.

Le conflit entre Angèle Salentino et Sarah Fraisou refait surface avec force sur les réseaux sociaux et ravive de lourdes accusations de harcèlement psychologique sur le tournage des Anges 12. Très active sur TikTok, Angèle dénonce une fois de plus des humiliations répétées et un isolement qu’elle attribue notamment à Sarah Fraisou, Tiffany et Raphaël Pépin, tout en pointant le silence de la production. Des vidéos d’archives récemment exhumées montrent Sarah se moquant ouvertement d’Angèle.

Dans un live TikTok, cette dernière s’exprime avec émotion : « Minimiser ce que j’ai vécu, c’est nier ma souffrance » et évoque une forme de maltraitance psychologique toujours vive. Elle déplore également le soutien affiché de certaines figures du web à Sarah, qu’elle vit comme une nouvelle humiliation : « C’est comme revivre ce cauchemar, encore et encore ». De son côté, Sarah Fraisou nie toute intention malveillante et parle de simples maladresses. Mais face aux images et à la douleur exprimée par Angèle, la Toile s’enflamme et relance le débat sur les dérives de la télé-réalité.
Une riposte médiatique entre larmes, accusations et appels à la réforme
Face aux accusations de harcèlement relancées par Angèle Salentino, Sarah Fraisou a décidé de répliquer publiquement dans les pages du magazine Public. Profondément affectée par les réactions virulentes qu’elle reçoit en ligne. Ainsi, elle affirme : « Moqueries, insultes, messages violents… Je suis la cible de tout ça », avant d’assurer : « Je n’ai jamais harcelé qui que ce soit. » Elle reconnaît des propos moqueurs, mais les considère comme des « taquineries mal perçues », loin de constituer un comportement malveillant. Refusant le rôle de bourreau qu’on lui attribue, Sarah annonce avoir engagé une procédure pour diffamation et accuse Angèle d’avoir orchestré une campagne contre elle : « Elle a réussi à créer une vague contre moi. »

Selon elle, cette image lui aurait coûté des opportunités professionnelles : « Les chaînes avaient peur de me remettre à l’écran. » Si elle n’a jamais présenté d’excuses à Angèle, elle s’en explique : « J’ai reçu des menaces de sa part. Elle m’a dit : ‘Je vais te détruire.’ » Sarah la décrit comme une personne « dangereuse » et « manipulatrice », affirmant avoir alerté la production dès l’époque du tournage. Saisissant cette tribune pour élargir le débat, elle critique le fonctionnement de la télé-réalité et appelle à la mise en place de « vrais tests psychologiques avant les castings », estimant que certains profils trop fragiles ou instables alimentent les tensions à huis clos. Une prise de parole forte, qui mêle justification personnelle et remise en question d’un système qui, selon elle, ne protège ni ses candidats ni son image.
De nouveaux témoignages fragilisent la défense de Sarah Fraisou
Alors que Sarah Fraisou se défend bec et ongles des accusations de harcèlement portées par Angèle Salentino, une autre voix s’élève pour rappeler la profondeur du mal-être provoqué par certaines expériences de téléréalité. Andréane, ex-candidate des Anges 8, a pris la parole sur TikTok pour témoigner de son propre calvaire, vécu il y a neuf ans… mais toujours vivace : « Je t’assure que 9 ans plus tard, les dégâts psychologiques sont là aussi ! », confie-t-elle, brisée. Dans un long message, elle dénonce l’attitude de certains anciens camarades qu’elle qualifie de « harceleurs », toujours invités à s’exprimer en interviews :
La souffrance ne s’efface pas. Je veux juste la paix. Mais ces intimidateurs continuent.
Selon elle, la machine médiatique alimente ce cycle toxique en donnant la parole à ceux qui ont contribué à son isolement : « Ceux qui les invitent ne cherchent qu’à faire des vues – et comme ça fonctionne, ils persistent. »

Andréane fustige également la tolérance du système français face au harcèlement en télé-réalité. Aussi, elle affirme qu’au Québec, de tels comportements auraient conduit à une exclusion immédiate : « Disparus, introuvables. (...) En France, c’est beaucoup trop toléré. Et ça détruit des vies. » En larmes, elle évoque une confiance en elle brisée par des années de remarques, d’humiliations et de mise à l’écart. « Je veux juste avoir la paix, c’est tout ce que je demande ! Je n’en peux plus », conclut-elle, dans un cri du cœur qui fait écho aux accusations d’Angèle. Ces témoignages bouleversants relancent une question essentielle : jusqu’où peut-on fermer les yeux sur les dommages psychologiques causés par la téléréalité ?

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