Benoît Dubois (Les Apprentis Aventuriers) livre des confidences inédites : « j’avais peur d’être le vieux de l’émission »
Les Apprentis Aventuriers en est actuellement à sa septième saison. Le programme made in W9 grâce auquel les téléspectateurs reverront leurs candidats de télé-réalité favoris. Notamment Seby Daddy et Julie Ricci avec qui il fera équipe tout au long de cette saison. Le moins qu’on puisse dire, c’est que l’émission nous réserve bien des surprises. Il faudra toutefois patienter jusqu’au 22 janvier prochain pour être fixés sur le déroulement de l’émission. Surtout avec les binômes qui ne se feront très certainement pas de cadeaux pendant toute la durée des hostilités. Dans les équipes adverses, on retrouvera notamment Cassandra Jullia et Giovanni. Ou encore Bastos et Mélanie Dedigama. Lequel d’entre eux rentrera avec la victoire finale en poche ? C’est là tout le suspense. En tout cas, l’ex d’Hillary, Alias Seby Daddy se montre très optimiste dans à la suite de son aventure.
Benoît Dubois se montre très cash dans ses réponses
Benoît Dubois est l’un des plus anciens candidats de télé-réalité de la télévision Française. Il faut ainsi croire que personne ne s’attendait vraiment à le voir se remettre en selle dans Les Apprentis Aventuriers. D’où la surprise générale à l’annonce de son nom au casting. Pourtant, au début, même lui, ne pensait pas réellement participer à l’émission. Il l’a d’ailleurs confié à nos confrères de Melty : « Pour être honnête, au début, je n’étais pas très chaud. On m’a appelé cet été pour un départ en septembre. Je n’étais pas dans l’idée de faire ce genre de rentrée. Car pour moi, la télé-réalité, c’était déjà très loin derrière moi. Bien que le concept soit très différent de celui auquel j’ai participé. Puis je me suis dit, pourquoi pas ».
Concernant son ressenti en intégrant l’aventure, Benoît Dubois n’aurait pas pu être plus cash : « Très peureux. J’avais peur de me retrouver avec la nouvelle génération de candidats. J’avais peur d’être le vieux. Un perdu qui n’arrive pas à s’intégrer. Mais aussi le fait de ne pas supporter l’aventure. Quand je m’investis dans un projet, je m’investis à fond, mais si la difficulté est trop grande, ça peut me créer des frustrations. J’avais peur de ne pas y arriver, de ne pas être capable… toutes ces petites questions font que c’est compliqué. En plus on ne mange pas, on dort par terre… Aucun confort ! Je m’étais dit « Bon c’est de la télé, quand les caméras sont posées, ça va », mais en fait, pas du tout ! ».
