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"C’est quelque chose qui a coûté à l’affaire Grégory" : ce que les enquêteurs veulent absolument éviter avec l'affaire du petit Emile

"C’est quelque chose qui a coûté à l’affaire Grégory" : ce que les enquêteurs veulent absolument éviter avec l'affaire du petit Emile
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Alors que l’enquête sur la mort du petit Émile, deux ans et demi, se concentre autour de sa famille, difficile de ne pas faire un parallèle avec l’affaire Grégory. D'ailleurs, les enquêteurs, eux, souhaitent à tout prix éviter de commettre les mêmes erreurs.

C'est une affaire qui ne cesse de faire parler. Tout commence le 8 juillet 2023, lorsque le petit Émile, deux ans et demi, disparaît mystérieusement alors qu’il se trouvait chez ses grands-parents maternels au Haut-Vernet, dans les Alpes-de-Haute-Provence. Après des recherches massives et infructueuses, son corps est finalement retrouvé en mars 2024 à proximité du village. Mais l’enquête, jusque-là au point mort, rebondit un an plus tard.

Car début mars 2025, coup de théâtre : Philippe et Anne Vedovini, le grand-père et la grand-mère maternel d’Émile, ainsi que deux de leurs enfants majeurs, sont placés en garde à vue pour "homicide volontaire" et "recel de cadavre" . Cette décision fait suite à des écoutes téléphoniques jugées troublantes, révélant des tensions au sein de la famille, comme l’a révélé Le Parisien. Un scénario glaçant qui rappelle inévitablement une autre affaire tristement célèbre : celle du petit Grégory. Des décennies (...)

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