
Fidji Ruiz : cette « malformation » l’empêche de faire cette chose avec son bébé

Fidji Ruiz, ancienne candidate de télé-réalité, a récemment accueilli un petit garçon prénommé Souleymen. Après quelques jours à la maternité, elle a pu rentrer chez elle avec son mari, Anas. Cette nouvelle étape de la vie de Fidji l’a profondément marquée, comme elle l’a partagé avec ses followers sur Instagram le samedi 16 mars. « C’est trop bizarre pour moi, cette nouvelle vie, mais c’est trop génial. En vrai, c’est vraiment incroyable, beaucoup plus que ce que je m’imaginais. C’est un apaisement et un épanouissement inexplicables », a-t-elle confié. Au cours de cette discussion avec ses abonnés, Fidji Ruiz a révélé un aspect intime de sa maternité : elle ne pourrait pas allaiter son enfant en raison d’une malformation détectée depuis son adolescence.
Une malformation depuis ses 18 ans
Cette situation était déjà connue de la jeune femme depuis ses 18 ans, mais elle avoue qu’elle aurait aimé que les choses se déroulent différemment. Malgré cette anticipation, la belle influenceuse a quand même tenté de mettre son fils au sein à la maternité, mais sans succès. Elle a partagé cette expérience avec une pointe d’humour : « J’étais au courant que je ne pourrais sûrement pas allaiter. Très jeune, j’ai eu comme une malformation. On m’a annoncé ça à mes 18 ans. Du coup, à la maternité, je n’ai eu aucune montée de lait… Ils ont essayé de faire téter le bébé. Je ne m’attendais pas à ce qu’il ait autant de force dans sa petite bouche ! ».
Pas d’allaitement possible pour Fidji Ruiz
Malheureusement pour Fidji Ruiz, pas d’allaitement possible : « Donc, je n’ai pas de lait et bébé boit au biberon. J’aurais aimé vivre cette expérience, mais je suis formatée dans mon cerveau depuis trop d’années… », a-t-elle partagé sur ses réseaux sociaux. Ce témoignage ouvert et honnête a été remarqué par d’autres personnalités publiques. Tout comme Shanna Kress, qui a exprimé ses propres sentiments mitigés sur l’allaitement. Ainsi, elle a confié l’année dernière ne pas avoir apprécié cette expérience, partageant honnêtement ses sensations désagréables. Terminé les tabous, et ça fait du bien !