"Il engueule les enfants" : Leïla Bekhti agacée par Tahar Rahim, son SMS à Grand Corps Malade

Actrice talentueuse et discrète sur sa vie privée, Leïla Bekhti a récemment choisi de briser le silence sur un sujet intime qui lui tenait à cœur. En couple avec Tahar Rahim, la comédienne de 41 ans a en effet évoqué, pour la toute première fois, les difficultés qu’elle a rencontrées pour tomber enceinte de son premier enfant. Derrière son sourire solaire et son humour piquant, la jolie brune a traversé une épreuve particulièrement douloureuse, qu'elle a décidé de partager au micro d'Audrey Crespo-Mara dans l'émission Sept à Huit. Une confession sincère et touchante qui a suscité de vives réactions.

Leïla Bekhti et Tahar Rahim : des tensions au sein du couple

En six ans, Leïla Bekhti est devenue maman de quatre enfants, un bonheur immense mais aussi un défi pour l'équilibre de son couple. Si l'actrice et son mari Tahar Rahim forment un duo soudé, l'arrivée des marmots a parfois généré des tensions. Lors du tournage du film Monsieur Aznavour, dans lequel son époux incarne le célèbre chanteur, Leïla Bekhti a eu du mal à supporter son attitude avec leurs enfants. C'est en tout cas ce que l'acteur a confié dans les colonnes de la Tribune du dimanche en octobre dernier.

"Elle n'en pouvait plus"

Tandis que Tahar Rahim était interrogé sur le rythme de travail de Charles Aznavour, l'acteur avait répondu : "Dix-sept heures par jour, c'est la légende, mais c'était un sacré bosseur. C'est l'un de mes points communs avec Charles Aznavour, même si sa force de travail, son abnégation et son acharnement sont titanesques. Je me suis beaucoup préparé en amont. Pendant six mois, je me suis obligé à parler comme Charles Aznavour tous les jours. Mon épouse (la comédienne Leila Bekhti) a même envoyé un texto à Grand Corps Malade pour lui dire qu'elle n'en pouvait plus d'entendre 'Charles Aznavour qui engueule les enfants à l'autre bout de l'appartement".

Une prestation validée par le clan du chanteur

Par chance, l'époux de Leïla Bekhti n'a eu "aucune difficulté à abandonner" son personnage une fois le film terminé. "Un seul m'a poursuivi après un tournage, celui de Mohamedou Ould Slahi dans Désigné coupable, l'histoire authentique d'un Mauritanien détenu arbitrairement pendant presque quinze ans à Guantánamo", avait-il confié. Dans une autre interview accordée à BFM TV, Tahar Rahim était aussi revenu sur la validation du clan Aznavour concernant sa prestation particulièrement bouleversante dans le long-métrage de Grand Corps Malade et Mehdi Idir. Une validation qui semble l'avoir beaucoup touché.