Jérémy Ferrari sans détour sur ces religions en France : "Ces communautés sont…"
Ce mardi 3 mars 2025, Jérémy Ferrari était invité sur les ondes de France Inter aux côtés de ses complices : Baptiste Lecaplain et Arnaud Tsamère. Fidèle à son humour incisif, l'humoriste s'est laissé aller à quelques confidences personnelles. Il a en effet évoqué sa vie amoureuse, un sujet qu'il aborde rarement, révélant être épanoui dans sa relation actuelle. Mais surtout, il a partagé ses envies de paternité. Un moment plus intime qui a surpris ses fans, habitués à son ton mordant. Derrière le provocateur, Jérémy Ferrari a dévoilé une facette plus sensible.
Jérémy Ferrari accusé de racisme
Si Jérémy Ferrari enchaîne les interviews, c'est avant tout pour faire la promotion de son nouveau spectacle baptisé La Tournée du Trio. Un show qui semble faire un énorme carton à travers la France. Mais si sa collaboration avec Baptiste Lecaplain et Arnaud Tsamère rencontre un énorme succès dans les salles, l'humoriste a connu des périodes bien plus tumultueuses. Ses spectacles n'ont pas toujours fait l'unanimité, et certains lui ont même valu de violentes critiques. L'humoriste a notamment été accusé de racisme à cause de son humour.
Des thèmes pour le moins osés
En 2013, c'est à cause de Hallelujah Bordel que Jérémy Ferrari a été pointé du doigt. Et ce, pour la simple et bonne raison que les thèmes abordés dans ce spectacle avaient créé la polémique. De la religion à l'homophobie en passant par le racisme, l'artiste avait tout rassemblé, ce qui n'avait malheureusement pas plu à tout le monde. Visiblement touché par les remarques négatives, il avait alors ouvert son coeur comme jamais auparavant lors d'une interview accordée à nos confrères de Toutelatele.com.
"Je voulais faire chier là où on peut atteindre"
"L’ensemble de mon œuvre me vaut un florilège d’insultes, c’est formidable", avait indiqué Jérémy Ferrari avant d'ajouter : "Le spectacle m’a causé quelques petits soucis, mais ce n’est pas grave. Les personnes qui ont pu m’insulter ou me menacer par écrit ou physiquement ont toujours été des extrémistes ou des gens assez débiles". Par chance, ceux-là ont toujours représenté une "minorité" : "les communautés religieuses sont beaucoup plus ouvertes qu’on ne le pense". "J’ai toujours cherché à aller là où les autres n’allaient pas", avait-il précisé. Et de conclure : "Je voulais faire chier là où on peut atteindre (…) en abordant tous les thèmes que j’aime, à savoir la misogynie, l’homophobie, le racisme, et ce, en allant à la genèse des maux de notre société".
