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Léa Salamé (Quelle Epoque) sur le départ ? « En accord avec ma direction… »

Léa Salamé (Quelle Epoque) sur le départ ? « En accord avec ma direction… »
Publié le , mis à jour le

Léa Salamé est une journaliste de talent et ce ne sont pas ses fans qui diront le contraire. Sa réputation la précède d’ailleurs dans le domaine. Son parcours en a en tout cas impressionné plus d’un et elle ne manquera pas de le faire dans les années à venir. Depuis 2014, elle a œuvré sur les ondes de France inter avant de passer dans Quelle Epoque sur France 2. Ses rendez-vous politiques devront toutefois être mis en retrait après la nouvelle dont nos confrères du Parisien nous ont récemment fait part. Des révélations émanant de Marc Fauvelle, directeur d’information de la chaîne.

Une professionnelle irréprochable

Peu de temps après l’annonce de son départ, Léa Salamé n’a pas manqué d’ôter les mots de la bouche de son supérieur hiérarchique. Selon ce dernier, aucun conflit en interne n’a conduit la journaliste à se retirer de la chaîne radio. D’ailleurs, il a été particulièrement élogieux à son égard : « Il n’y a pas l’ombre d’une tension avec Léa Salamé. C’est une immense professionnelle, irréprochable en matière d’impartialité. Mais cette décision est essentielle pour protéger la chaîne et respecter la confiance des 7 millions d’auditeurs ». Elle sera donc remplacée pendant toute la durée de la campagne pour les élections européennes.

Cette décision est la sienne et elle assume

La question se pose alors sur l’identité de celui ou celle qui remplacera Léa Salamé chez France inter. Nos confrères du Parisien ont ainsi balancé sur le fait que ce rôle reviendra désormais à Yaël Goosz, le chef du service politique de la chaîne : « Dès qu’il y aura un invité politique au 8h20, ou que le débat de 9h05 sera lié à l’élection. A partir du 29 avril, elle arrivera à l’antenne à 9h20 tous les jours pour son interview culturelle ». En tout cas, la jeune femme a mis les choses au clair de son côté : « Cette décision est la mienne, en accord avec ma direction. Ce n’est pas une sanction, c’est moi qui ai pris l’initiative d’en parler en toute franchise avec mes patronnes avec lesquelles j’ai eu la chance de discuter longuement et librement. Cette décision me coûte, mais je l’assume ».

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