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Maeva Ghennam : elle se confie sur ses rendez-vous avec sa psy

Maeva Ghennam : elle se confie sur ses rendez-vous avec sa psy
Publié le , mis à jour le
@maevaghennam

Maeva Ghennam est toujours en France, mais son départ pour Dubaï ne saurait tarder. En attendant, c’est chez elle, avec sa mère, qu’elle continue de se faire dorloter. Car elle appréhende énormément son retour. En effet, ici en France, et notamment à Marseille, elle est entourée de ses amies et de sa famille. Alors qu’à Dubaï, la jeune femme ressent fortement la solitude. Même si elle a toujours ses amis Marseillais. Dernièrement, elle se confiait sur sa peur de voir Romana partir. En effet, la jeune femme ne travaille plus pour elle et bientôt, elle quittera la maison. Un départ qui est vécu comme un déchirement pour Maeva. Bien qu’elle soit en France, Maeva n’en fini pas de faire parler d’elle. Et au Sephora de Marseille, elle a même poursuivi Carla Moreau en la traitant de sorcière !

« Mon téléphone, il me stresse« , se confie Maeva

Comme à son habitude, Maeva Ghennam est en pleine routine beauté, lorsqu’elle se confie à ses fans. Elle explique : « Hier les filles, j’ai fait une petite pause parce que j’étais au téléphone avec ma psy, et que je n’étais pas très bien. Et en fait, j’expliquais à ma psy que quand par exemple je me snapais pas pendant une heure, je culpabilisais. Parce que je reçois des milliers de messages, où on me dit « oui Maeva grâce à tes snaps, je me sens mieux », du coup ça me fait culpabiliser quand je me snap moins. Alors que parfois, j’ai besoin de faire une pause avec mon téléphone parce que mon téléphone, il me stresse.« 

@maevaghennam

« j’accepte de faire une coupure » se confie Maeva

Et si Maeva Ghennam assure lire de plus en plus, elle semble également faire une vraie introspection. Elle explique : « En fait, moi mon problème et c’est un truc qu’il faut vraiment que je règle, c’est que je n’arrive pas à gérer mes émotions. Mes émotions, elles sont toutes décuplées. Je me confie à vous comme si vous étiez mes meilleures amies alors qu’il n’y a pas que des gens bienveillants. » Aujourd’hui, Maeva l’assure : « Maintenant, je me dis quand je ne vais pas bien, j’accepte de faire une coupure. Même si ça me fait culpabiliser. »

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