Michel Cymès (67 ans) sous morphine sur le plateau de C l'hebdo : "C'est pour ça que je l'ai fait..."

Michel Cymes est en ce moment en pleine tournée de promotion pour son almanach baptisé Une année 2025 en pleine forme avec le Docteur Michel Cymes. A cette occasion, le célèbre docteur écume les plateaux de télévision et les interviews.

Michel Cymès totalement désorienté sur le plateau de France 5

Et voilà que ce samedi 1er février, il était sur le plateau de C l'hebdo, émission animée par Aurélie Casse. Mais apparemment, Michel Cymes était bien mal en point. "À quel point vous êtes en forme sur une échelle de 1 à 10 ?", lui demande alors la journaliste qui voit bien que son invité n'est pas bien du tout. "En ce moment ? 0,5. Je me suis fait opérer du genou et je ne suis pas… Là, tel que vous me voyez, je suis sous morphine." En très mauvais état, le médecin explique ainsi ce qui lui est arrivé : "Je me suis fait mettre une prothèse de genou il y a trois semaines, parce que je n’avais plus de cartilage, que je ne pouvais plus courir, plus jouer au tennis et que je trouvais ça dommage." 

"Je suis encore très jeune"

A 67 ans, Michel Cymes espère ainsi pouvoir retrouver toute sa mobilité : "Il y a trois mois sans sport et dans six mois normalement je peux recourir, jouer au foot et tout. C’est pour ça que je l’ai fait parce que je suis encore très jeune", a-t-il confié. A de multiples reprises, le docteur a insisté sur les bienfaits des activités sportives. Et il a bien remarqué que les Français avaient été pris d'une grande passion pour le sport lors des JO de Paris. "On a au moins réussi à faire rentrer dans le cerveau des Français que ne pas faire d'activité physique, je ne parle pas de sport, c'est-à-dire 30 minutes d'activité physique quotidienne, conduit à avoir des maladies chroniques et à réduire son espérance de vie".

Le docteur se confie sur son cancer

Pour Michel Cymes faire du sport c'est aussi une façon de tirer un trait sur son cancer. En effet, il y a quelques années, l'animateur a dû combattre la maladie : "Quand on m'a annoncé que j'avais un cancer, j'ai pris le même coup sur la tête que n'importe quel patient, mais après, il faut se relever et se dire : 'j'aimerais bien faire partie des 60 % de guérison, et pour ça, il faut se faire dépister", indiquait-il à nos confrères de RTL. Désormais, la maladie est derrière lui. Mais faire de l'activité physique est pour lui fondamental.