Pierre Palmade accro à la cocaïne : la drogue l’aiderait à faire face à son homosexualité

Les addictions de Pierre Palmade ne sont plus un secret pour ses fans. L’humoriste a en effet déjà avoué être accro à l’alcool et à la cocaïne. Il a même consacré un ouvrage mettant en avant ces vices cachés qu’il a depuis révélé au grand jour. Le pire dans cette histoire, c’est qu’il a provoqué un terrible accident le 10 février 2024, justement à cause de ces substances. Aux dernières nouvelles, celui qui n’est plus ami avec Muriel Robin roulait sur une route départementale lorsqu’il s’est soudainement déporté sur sa droite. La Renault Mégane qui arrivait en face n’a ainsi eu aucune chance d’éviter le choc. Elle a percuté de plein fouet la Peugeot 3008 qui roulait à vive allure sur sa voie. Le bilan de ce drame a d’ailleurs été relativement lourd.

Le bilan de cet accident a été relativement lourd

Dans la Renault Mégane, les trois personnes qui occupaient le véhicule ont toutes été grièvement blessées. Le conducteur, un plombier de 37 ans a subi de multiples fractures, tandis que sa belle-sœur qui se trouvait sur le siège passager a perdu son bébé. Elle a également été blessée au niveau du dos. Son fils de six ans, assis à l’arrière de la voiture au moment de l’impact a quant à lui eu la mâchoire brisée. De son côté, Pierre Palmade a été victime de plusieurs blessures au niveau du thorax, mais s’en est rapidement remis.

Deux témoignages en faveur de Pierre Palmade

Le 5 mars dernier, la mère et la sœur de Pierre Palmade sont donc intervenues devant le tribunal afin d’apporter leur témoignage dans le dossier d’instruction : « Il avait huit ans quand son père est mort dans un accident de voiture. Il est rentré dans un certain mutisme. En tant qu’aîné, il encadrait ses sœurs et jouait son rôle de soutien de famille. Pierre a toujours eu une fascination pour la beauté. Il arrive à 19 ans à Paris et consomme de la cocaïne pour se sentir à l’aise dans le milieu artistique pour accepter son homosexualité. Pierre a vécu son homosexualité comme une faiblesse, une honte. La drogue lui a permis de mieux assumer cette homosexualité ».