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Stéphane Bern : avant d'être une star, il a été "homme pipi"

Stéphane Bern : avant d'être une star, il a été "homme pipi"
Publié le , mis à jour le

Aujourd'hui, on ne présente plus Stéphane Bern. Animateur radio, puis télé, notamment dans l’émission Secrets d’Histoire, il a su prendre sa place en tant que spécialiste des têtes couronnées du monde. Une passion qui lui a été transmise par ses grands-parents, comme il le raconte dans une interview lors de son passage dans l’émission 50’ Inside. Stéphane Bern explique : « Mon souvenir d'eux est encore très fort aujourd'hui. Mon grand-père m'a initié à l'histoire. Il me racontait sa guerre, on ouvrait des cartes de France, il me montrait les chemins, le maquis, comment on résistait. J'avais l'impression d'avoir un témoin. »

« Je ne me sentais pas très bien dans ma peau », confie Stéphane Bern

Si l’animateur est aujourd’hui quelqu’un d’épanoui, ça n’a pas toujours été le cas. Ce samedi 15 février, Stéphane Bern raconte en interview : « J’avais des lunettes et j'étais boutonneuxJe ne me sentais pas très bien dans ma peau. Ce n’était pas la plus heureuse période de ma vie, je n'ai donc aucune nostalgie de cette époque. J'ai commencé à trouver que ça devenait intéressant vers les 25-30 ans. ». Une époque désormais révolue pour celui qui partage sa vie avec Yori Bailleres. D’ailleurs, en 2025, Stéphane Bern a fait une promesse à son compagnon : « En 2025, Yori first, et après les autres ! ». En effet, si l’animateur avait tendance à dire oui à tous les événements, cette année, il va sélectionner pour privilégier du temps avec son amoureux.

« Homme pipi au château de Versailles me permettait d’être dans mon élément », raconte Stéphane Bern

Et pour en arriver là dans sa carrière, Stéphane Bern a dû se battre. En interview, il est revenu sur ses débuts, et notamment sur ses petits boulots d’étudiant. Car même si aujourd’hui il est entouré de grandes fortunes, il n’a au départ jamais été aidé par ses parents. Ce qui l’a obligé à travailler et à trouver des petits jobs. Il raconte : « Je faisais tous les salons professionnels pour distribuer des prospectus. Ce n'était pas très intéressant intellectuellement. Autant, homme pipi - qu'on appelait hôte d'accueil - au château de Versailles me permettait d'être dans mon élément et de profiter des lieux en rencontrant des gens. »

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