
"Un sale coup" : Raphaël Glucksmann trahi, le chéri de Léa Salamé lâché en plein vol

Dernièrement, Raphaël Glucksmann s'est montré très présent dans les médias. En effet, ce dernier a donné son avis sur des sujets brûlants. Une position bien assurée dans son milieu, loin de l'univers de sa compagne, Léa Salamé. Un juste équilibre des choses entre le journaliste et le politique très engagé à gauche. "Elle a une super carrière, et à partir du moment où l’on franchirait ces frontières, ça mettrait en péril nos trajectoires. Ne pas s’exposer et respecter l’espace de l’autre, c’est ce qui fait la solidité de notre couple. Ce sont deux destinées, pas une fusion", avait-il dit.
Qui est le mari de Léa Salamé ?
Présentement, Raphaël Glucksmann n'a pas eu peur de mouiller la chemise. Le chef du parti de la Place publique s'était alors opposé à l'extrême-droite, qu'il qualifiait de "patriotes de pacotille" sur RMC-BFMTV. Des propos qui, en somme, ne plairont pas aux sympathisants de Marine Le Pen et Jordan Bardella. Ces propos, il les a tenus dans le cadre de l'altercation entre Zelensky et Trump à la Maison Blanche. "Dans une crise majeure, les masques tombent et aujourd'hui les extrêmes-droites européennes sont du côté des adversaires des intérêts de la France et de l'Europe", avait-il dit.
L'homme politique lâché par la gauche ?
Ceci étant dit, Raphaël Glucksmann n'a pas que des alliés dans son camp. Et ce, même s'il a des avis tranchés face à leurs opposants. En effet, le chef de file de la Place publique a essuyé les critiques de la France Insoumise. Celui qui est allé s'exiler en Corse a d'ailleurs été mis dans le même sac que le Parti Socialiste. Cela faisait suite à ce "coup bas" dénoncé dans la presse, notamment Libération, suite à son refus de soutenir Lyes Louffok, candidat à la législative partielle en janvier dernier. Un refus qui aurait encouragé l'abstention.
LFI dénonce le "sale coup" de Raphaël Glucksmann
Le chéri de Léa Salamé a donc encaissé les critiques de toutes parts. "Les déclarations de Glucksmann appelant à ne pas voter pour lui ou même la censure quelque part, c’est de nature plutôt à diviser l’électorat", a dit par exemple Eric Coquerel. Raphaël Glucksmann avait dû se défendre bec et ongles sur Sud Radio. "Nous n’avons pas aujourd’hui d’accord national Place Publique - LFI et nous n’en souhaitons pas". De quoi rabaisser le caquet de ses détracteurs une bonne fois pour toutes.
D'autres politiques s'en prennent à la France Insoumise
Il y a donc du rififi du côté de la gauche et des sons de cloches qui ne sont plus les mêmes. Outre Raphaël Glucksmann, d'autres politiques ont tenu à se distancier du LFI. "Comme toujours, les défaites électorales de LFI sont de la faute des autres, a dit par exemple Laurence Rossignol. C’est pourtant l’étiquette LFI qui a perdu cette circonscription et non le militant de la cause des enfants, Lyes Louffok. Je serai toujours à ses côtés dans nos combats".