Escort Boys (Prime Video) : l’hiver promet d’être « muy caliente »
Les abonnés de Prime Video seront carrément gâtés en cette fin décembre 2023. La plateforme mettra en effet en ligne une nouvelle série particulièrement captivante à compter sur 22 décembre prochain. Il s’agit d’une fiction intitulée Escort Boys dont le scénario a été adapté de la production israélienne Johnny and the Knights of Galilee. Composée de six épisodes de 30 minutes, elle racontera donc l’histoire de quatre hommes déterminés à sortir de la galère dans laquelle ils se trouvent. Des personnages respectivement incarnés par Guillaume Labbé, Thibault Evrard, Corentin Fila et Simon Ehrlacher. Leur solution pour éviter enfin de vivre dans la misère ? Vendre leur corps au plus offrant. Vous serez pourtant étonnés d’apprendre que leur idée de percer dans le métier ne vient pas vraiment d’un acte prémédité. En tout cas, comme qui dirait, le hasard fait bien les choses. Ils vont donc se lancer à fond dans ce service payant adressé aux femmes esseulées.
Une comédie dramatique qui devrait tenir toutes ses promesses
Les quatre compères vont donc dans un premier temps vendre leur corps sans vraiment en avoir l’intention. Ils finissent pourtant par y prendre goût. Surtout que l’espiègle petite sœur du groupe est là pour les encourager à foncer. Ils montent alors leur propre agence d’Escort Boys et font à chaque fois, des rencontres, toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Concernant le casting des actrices, dommage que Ruben Alves préfère jusqu’à présent garder le secret. « Ce sont des actrices avec qui j’ai envie de travailler. Chacune va ramener son propre univers. Elles sont toutes jouissives de par leurs différences » a-t-il juste déclaré pour nous mettre l’eau à la bouche.
Si les actrices qui joueront dans la série n’ont pas été dévoilées, des guests feront leur apparition tout au long des épisodes de la saison. Des stars du cinéma comme Amanda Lear, Kelly Rutherford, ou encore Carole Bouquet. Avec de telles personnalités, le succès de la fiction est déjà garanti. Surtout que de cette manière, le cinéaste pourra « aborder des sujets dramatiques avec une vraie légèreté. J’aime cette ambivalence. Passer du rire aux larmes, c’est exactement ce que j’aime et ce que je veux faire ».
