"Ça, c'est la France que j'aime" : Leïla Slimani évoque la réception de la cérémonie d'ouverture des JO à l'étranger

Invitée sur le plateau de Quotidien vendredi 24 janvier 2025 à l'occasion de la sortie de son nouveau livre J'emporterai le feu, la journaliste et écrivaine Leïla Slimani est revenue sur son expérience aux côtés de Thomas Joly à écrire la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques.
Une vie d'étrangère. C'est le quotidien que connaît Leïla Slimani depuis 25 ans. Depuis qu'elle a troqué la chaleur marocaine pour la vie bohème parisienne. Habituée à trimballer sa vie dans ses valises, la romancière vit entre son pays d'origine, la France qui l'a adoptée, et le Portugal. Une thématique de l'exil qui lui est chère et qu'elle développe dans son nouveau roman, J'emporterai le feu, paru le 23 janvier 2025 chez Gallimard. "En France, on parle beaucoup de l'assimilation d'en haut. J'en parle d'un point de vue beaucoup plus émotionnel, beaucoup plus littéraire, sans aucun jugement, en essayant de faire ressentir, aussi, la douleur que c'est que de s'assimiler", commence-t-elle face à Yann Barthès, alors qu'elle est invitée dans l'émission Quotidien au lendemain de la publication de son livre.
"L'assimilation, ça prend du temps. Ça prend du temps d'arriver, d'habiter, de trouver sa place, d'aimer (...)
À lire aussi sur Voici: