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Drag Race France – Punani : « J’ai appris qu’on n’est pas obligé d’être drôle tout le temps »

Drag Race France – Punani : « J’ai appris qu’on n’est pas obligé d’être drôle tout le temps »
Publié le , mis à jour le

Punani, finaliste de Drag Race France, a su mêler mode et humour chaque semaine. Ce mélange a-t-il séduit notre journaliste ? La réponse.

Dès sa vidéo de présentation pour la saison 2 de Drag Race France, Punani se met en scène comme une drag queen inaccessible, snob. Face à cette reine de glace, l’autrice de ces lignes a voulu fuir. Mais j’ai été rattrapée en la découvrant chaque semaine un peu plus dans le concours télévisé de drag queens, sur France 2, où pourtant, elle avait de la concurrence avec dix autres queens talentueuses. Mais c’est à l’épisode du Snatch Game, le jeu parodique dans lequel les reines se transforment en une personnalité connue, que tout a basculé dans mon jugement et dans mon cœur. Finalement, je crois que je l’aime bien. Tentons de briser la glace en essayant de savoir qui est Jules, l’homme qui donne forme à Punani.

Jules, 31 ans, est-il à l’image de son doppelgänger ? Un peu. « Mon visage est très fermé de base, mais je pense que c’est facile de me parler. » Alors j’y vais, à quelques minutes de la diffusion de la finale, pour une interview très attendue. Qui êtes-vous Jules ? « Je suis un vrai Parisien, né dans le 15e. » Mais c’est à l’Haÿ-les-Roses qu’il grandit, dans une maison très riche en visuels puisque ses parents sont des collectionneurs. Sa mère, artiste peintre, son père, plasticien, Jules s’éveille visuellement avec beaucoup de sorties au musée, beaucoup d’amis…

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