"J'ai un peu de mal à en parler" : Roselyne Bachelot mal à l'aise en évoquant le terrible bizutage auquel elle a échappé en école de médecine (ZAPTV)
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Jeudi 18 avril, Roselyne Bachelot était l'invitée d'Anne-Elisabeth Lemoine dans C à vous pour évoquer le #MeTooHôpital et les accusations contre Patrick Pelloux notamment. Mais l'ancienne ministre s'est montrée particulièrement gênée au moment d'évoquer sa propre expérience avec le bizutage en école de médecine.
L'hôpital est secoué comme il l'a rarement été. Après le cinéma, c'est en effet au tour du monde hospitalier de faire son #MeToo, lancé par une grande enquête de Paris Match qui a notamment mis en lumière le comportement de Patrick Pelloux, célèbre urgentiste. Dénoncé par l'infectiologue Karine Lacombe, le proche de la sphère politique s'est défendu sur Instagram ce dimanche : "J'ai été sidéré d'apprendre par la journaliste de Paris Match les accusations de Karine Lacombe et les rumeurs relayées dans cet article, que je conteste avec force. C'est de la diffamation" a-t-il écrit.
Sauf que la célèbre infectiologue n'est pas la seule à avoir dénoncé le comportement du médecin : c'est aussi le cas de Roselyne Bachelot, qui a elle-même ordonné la mutation du médecin en 2008 lorsqu'elle était ministre de la Santé, alertée sur le comportement de Patrick Pelloux.
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