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Les journalistes gazaouis, propulsés sur le devant de la scène internationale

Les journalistes gazaouis, propulsés sur le devant de la scène internationale
Publié le , mis à jour le

Depuis l’attaque du Hamas et l’invasion israélienne de Gaza, ils sont plusieurs journalistes gazaouis à raconter la guerre sur leurs comptes personnels et gagnent une popularité inédite.

Il est le premier journaliste gazaoui à faire la une de GQ Middle East. Le 23 novembre dernier, Motaz Azaiza, 24 ans, était élu «homme de l’année 2023» par le magazine. «À l’instar de ses collègues sur le terrain à Gaza, Motaz Azaiza nous rappelle que peu importe qui nous sommes ou d’où nous venons, c’est nous –des gens, hommes et femmes, ordinaires– qui avons le pouvoir de mettre en œuvre le changement que nous voulons voir», écrivait l’édition moyen-orientale du média américain.

C’est le parcours fulgurant d’un jeune Palestinien, devenu protagoniste d’une guerre de l’information d’une ampleur inédite, alors que l’accès des journalistes étrangers à Gaza reste interdit par le blocus israélien. Depuis le 7 octobre, quarante-huit journalistes ont été tués par des frappes israéliennes à Gaza, selon le dernier bilan de Reporters sans frontières (RSF) daté du 22 novembre.

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