Miss France 2024 : les candidates auraient bu de l’alcool pendant le dîner, le chaperon les rappelle à l’ordre
Il ne reste plus que quelques jours avant la diffusion du concours Miss France 2024 sur TF1. Un moment que les 30 Miss régionales attendent avec la plus grande impatience. Cet événement étant sans aucun doute le plus important de leur vie, elles ont réalisé un voyage de préparation en Guyane. Ce qui a amené nos confrères de télé-Loisirs à les suivre sur place en faisant partie de la délégation de 78 personnes ayant fait le déplacement. Comme on peut s’y attendre, elles doivent se conformer à un règlement très strict. Tout cela, sans compter les séances photos, sophrologie et les cours de catwalk. Autant dire qu’avec un emploi du temps aussi chargé, les journées sont des plus longues. Dès 6 heures du matin, elles sont habillées, maquillées et coiffées. Les organisateurs de l’événement sont quant à eux intransigeants sur leur comportement en public.
Les Miss France n’ont pas le droit de consommer de l’alcool
Depuis la création du concours Miss France, le règlement n’a pas beaucoup évolué. Les candidates doivent mesurer au moins 1,70 m et avoir la nationalité française. Elles n’ont également pas le droit de participer à des séances photos dénudées sauf si c’est pour des initiatives caritatives. Auparavant, les femmes mariées et les mères de famille ont été exclues. Aujourd’hui, cette règle a changé et elles ont parfaitement le droit de participer. C’est la même chose pour les femmes transgenres. En tout cas, malgré toutes les réformes opérées, elles n’ont toujours pas le droit de consommer de l’alcool. Tout cela afin d’éviter les gueules de bois pouvant nuire à leurs performances et surtout, afin d’éviter les retards dans leur emploi du temps quotidien.
Le journaliste de Télé-Loisirs qui a fait le déplacement avec les Miss France en Guyane a en tout cas assisté à une scène insolite. En découvrant une Caïpirinha posée sur la table du dîner, un chaperon aurait lâché : « Les filles, on reste au soft hein ». Un rappel à l’ordre qui a conduit notre confrère à analyser : « Au début, il y a un côté un peu militaire mais, en fin de séjour, on se rend compte qu’il n’y a plus besoin de leur dire quoi que ce soit ».
