"Je pouvais apporter ma pierre à l'édifice en aidant les femmes qui souffrent d'alopécie" - Le témoignage de Meriem Khali-Malone, la fondatrice de Madame la Présidente

Que serait devenu son destin sans cette maladie ? Diagnostiquée à 18 ans d’une alopécie androgénétique, Meriem Khali-Malone a longtemps caché sa perte de cheveux. Mais un voyage aux États-Unis a bouleversé son rapport à elle-même et à sa chevelure. Aujourd’hui, grâce à sa marque Madame la Présidente, elle aide des milliers de femmes à s’accepter et à retrouver confiance.

À 40 ans, une femme sur cinq est touchée par l’alopécie, selon la Société Française de Dermatologie*. Cette maladie, définie comme une perte de poils sur le corps, est un enjeu esthétique et émotionnel pour de nombreuses femmes. Si elle touche principalement les femmes à partir de la quarantaine, elle peut également survenir très jeune. C’est le cas de Meriem Khali-Malone, qui, à l’âge de 18 ans, apprend que sa perte de cheveux porte un nom : alopécie androgénétique. Elle entre alors dans une spirale de dissimulation et d’inquiétude constante. Jusqu’à transformer cette épreuve en une force qui la pousse à entreprendre.

"Je voyais des poignées de cheveux tomber et d’énormes trous se former sur mon cuir chevelu"

"Je me souviens encore du jour où le diagnostic est tombé. À 18 ans, j’apprenais que je souffrais d’alopécie androgénétique. (...)