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"L'épilation, ça existe !" : Prune 24 ans, raconte comment elle a arrêté de s'épiler et affronté le regard des autres et les moqueries

"L'épilation, ça existe !" : Prune 24 ans, raconte comment elle a arrêté de s'épiler et affronté le regard des autres et les moqueries
Publié le , mis à jour le

Malgré certaines remarques désobligeantes lors d’un premier rendez-vous, au travail ou dans le métro, de plus en plus de femmes décident de faire fi du regard des autres et d’assumer leur pilosité. Retour sur le témoignage de *Prune, jeune femme, qui a décidé de dire au revoir au rasoir et à la cire.

Ancrée dans les moeurs de notre société, parfois jugée patriarcale, la question de l’épilation chez la femme demeure, encore, un tabou. Dès le plus jeune âge, on apprend aux filles que les poils sont disgracieux, contraires à la féminité et qu’il faut s’en débarrasser quoi qu’il advienne. Quand on enseigne aux garçons que leurs poils sont le reflet de leur masculinité et de leur virilité. À l’âge adulte, convaincues que les poils sont synonyme de laisser-aller et de saleté, nous cherchons, la gent féminine, par tous les moyens à en venir à bout à l’aide d’un rasoir, de cire chaude ou froide, de lumière pulsée ou de laser.

Si certaines préfèrent leur corps dénué de poils, d’autres apprennent toutefois à se défaire des carcans et à écouter leurs envies. En signe de protestation, par manque d'envie ou tout simplement par rejet de cette pression de l'épilation, nombreuses sont celles qui renoncent (...)

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