Ces 12 infractions peuvent être sanctionnées par la vidéo-verbalisation
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La vidéo-verbalisation permet de sanctionner plus facilement certains délits routiers, mais son champ d’action reste limité.
Introduite en 2008 sur les bords de route, la vidéo-verbalisation permet de se substituer à certains radars routiers par un réseau de caméras de surveillance, souvent installées dans des zones urbaines denses ou des axes de circulation très fréquentés. On compte aujourd’hui plus d’une centaine de municipalités qui recourent à ce dispositif en temps réel.
Quelles sont les infractions qui peuvent être jugées par la vidéo-verbalisation ?Depuis le 31 décembre 2016 et l’entrée en vigueur des mesures 3 et 6 du Comité interministériel de la sécurité routière (CISR), ce sont en tout douze infractions différentes qui peuvent être sanctionnées par la vidéo-verbalisation. Celles-ci concernent :
l’utilisation du téléphone au volant ;le dépassement des vitesses maximales ;l’usage de voies réservées ;le non-respect du stop et du feu rouge ;le non-respect des distances de sécurité entre deux véhicules ;le non-respect des dépassements autorisés ;le franchissement ou le chevauchement d’une ligne continue ;le non-port de la ceinture de sécurité ;le stationnement, l’arrêt ou la circulation (...)À lire aussi sur Femme Actuelle: