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Comment le paracétamol sait-il où l’on a mal?

Comment le paracétamol sait-il où l’on a mal?
Publié le , mis à jour le

[L’Explication #144] Non, le Doliprane et autres Dafalgan ou Efferalgan n’ont pas de détecteur pour se guider dans notre corps.

Pourquoi envions-nous l’orgasme des cochons? Les gauchers sont-ils davantage intelligents? Quand il pleut, est-ce que les insectes meurent ou résistent? Vous vous êtes sans doute déjà posé ce genre de questions sans queue ni tête au détour d’une balade, sous la douche ou au cours d’une nuit sans sommeil. Chaque semaine, L’Explication répond à vos interrogations, des plus existentielles aux plus farfelues. Une question? Écrivez à explication@slate.fr.

Mal de crâne, de dos, de ventre… Pour certains, prendre du paracétamol à la moindre douleur est un remède à tous les maux, parfois même une habitude. On ingurgite le médicament (très souvent un Doliprane) et, hop, quelques instants après, la douleur se dissipe pendant quelques heures. Un miracle!

Si vous en avez déjà pris, cette question vous est sûrement déjà passée par la tête: comment le paracétamol sait-il où on a mal? Comment cible-t-il un mal de tête sans partir s’éparpiller je ne sais où, des pieds aux épaules? Bref, comment cette molécule agit-elle précisément?

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