Grossesse môlaire : définition, symptômes, causes

Les femmes concernées par une grossesse môlaire ou môle hydatiforme ne peuvent pas mener leur grossesse à terme, à cause d’une anomalie lors de la fécondation. Il s’agit d’une pathologie trophoblastique rare, qui nécessite une interruption médicale de grossesse.
D’après la fiche d’information sur la môle hydatiforme, publiée par le Portail des maladies rares et des médicaments orphelins Orphanet, la grossesse môlaire concerne environ 1 grossesse sur 1 000 en Europe. Elle peut être partielle ou totale. Non viable, ce type de grossesse résulte d’une anomalie au cours de la fécondation, de cause inconnue. Elle peut impliquer des symptômes de grossesse classiques, mais à l’intensité exacerbée (vomissements sévères, tension artérielle élevée, etc.), et le diagnostic repose sur les analyses de sang et l’échographie.
Définition de la grossesse môlaireLes grossesses môlaires (ou môles hydatiformes) sont des pathologies trophoblastiques gestationnelles qui concernent une grossesse sur 1 000 en Europe, d’après Orphanet. Les médecins en distinguent deux sortes :
Les grossesses môlaires partielles : l’échographie révèle un embryon, voire un fœtus, mais celui-ci finit par mourir (fausse-couche).Les (...)