L’Alaskapox, ce mystérieux virus qui vient de faire un mort

Depuis quelques années, les scientifiques et les professionnels de la santé garde un œil sur un virus rare connu sous le nom d’«Alaskapox» (ou «variole d’Alaska», en français), nous informe ScienceAlert. Les premiers cas ont été diagnostiqués pour la première fois en 2015.
Jusqu’ici, les personnes malades souffraient de symptômes légers tels que des douleurs articulaires et musculaires, une inflammation des ganglions lymphatiques et l’apparition de pustules sur la peau. «Le virus disparaît généralement après quelques semaines, mais peut être plus dangereux pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli», précise le média.
Alaska confirms first fatal case of Alaskapox https://t.co/pdzf0s3t8b pic.twitter.com/L8mMXEN2Oq
— New York Post (@nypost) February 12, 2024
Fin janvier, un homme âgé a été le premier cas mortel d’Alaskapox. Résidant dans la péninsule de Kenai, au sud-ouest de l’Alaska, il s’agissait seulement du septième patient identifié. Il présentait une plaie rouge sous l’aisselle droite, accompagnée de sensations de brûlure. Les spécialistes pensent que le fait que ce patient suivait un traitement contre le cancer a rendu son corps plus vulnérable face au virus.
Des zones d’ombres à éclaircir
Étrangement, l’homme se trouvait à plus de 500 kilomètres du premier cas, qui avait été signalé à Fairbanks. Les experts de santé en ont conclu que l’Alaskapox était…