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«Les psys culpabilisent-ils de prendre des congés?»

«Les psys culpabilisent-ils de prendre des congés?»
Publié le , mis à jour le

Cette semaine, Mardi Noir conseille Andréa, qui se demande ce que sa psychologue éprouve à l’égard de ses patients lorsqu’elle ne travaille pas.

Chaque jeudi, dans Ça tourne pas rond, Mardi Noir, psychologue et psychanalyste, répond aux questions que vous lui posez. Quelles que soient vos interrogations, dans votre rapport aux autres, au monde ou à vous-même, écrivez à mardi.noir@slate.fr, tous vos mails seront lus.

Et chaque mardi, retrouvez le podcast sur Slate Audio.

Chère Mardi Noir,

Ma psy s’est arrêtée trois semaines récemment, puis deux semaines à l’occasion des congés de fin d’année. J’ai vécu et je continue de vivre ses cinq absences à elle, ces cinq manques de séance de manière très douloureuse, presque comme un abandon. Je lui en veux en quelque sorte, tout en la comprenant: elle aussi est humaine, après tout. Et je me pose une question: et elle, que ressent-elle, en tant que praticienne, par rapport à ses patients? Autrement dit, de manière plus générale et au-delà d’elle: les psys culpabilisent-ils lorsqu’ils prennent des congés, craignent-ils pour (allons-y fort) la vie de leurs patients, l’impact que cette absence pourrait avoir, lorsqu’eux-mêmes ont des soucis personnels et sont, par exemple, en arrêt maladie?

Merci pour votre …

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