Mon avis de psychiatre sur la publication des mémoires de Britney Spears
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Il est impossible de savoir comment la pop-star vit la diffusion de son livre, mais son post Instagram du 20 octobre laisse penser que c’est très, très dur pour elle.
Dans les jours qui ont précédé la sortie des mémoires de Britney Spears, La Femme en moi, je faisais défiler mes fils d’actualité sur les réseaux sociaux. J’ai été alors frappée par une série de titres se référant à diverses anecdotes tirées du livre: «Britney Spears écrit qu’elle a avorté parce que Justin Timberlake “ne voulait pas être père”»; «Britney révèle pourquoi elle s’est rasé la tête»; «Britney Spears: l’Adderall était ma “drogue de prédilection” parce qu’elle me rendait “moins déprimée”».
La lycéenne en moi, la millennial qui a grandi entourée de médias scrutant les moindres faits et gestes de Britney, a été immédiatement attirée, excitée même. Je me suis surprise à lire ces publications pour comprendre l’histoire cachée derrière les gros titres, histoire racontée par la personne qui avait vraiment vécu tout cela, Britney elle-même.
Mais la psychiatre que je suis s’est fait du souci pour elle. Avec ses mémoires parus mardi 24 octobre, nous avons maintenant un aperçu des tourments qu’a connus Britney, dans sa vie personnelle et psychique (telles qu’elle les décrit, et non selon mon diagnostic). …