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Succession : ces 9 démarches à faire (ou pas) de son vivant pour la faciliter

Succession : ces 9 démarches à faire (ou pas) de son vivant pour la faciliter
Publié le , mis à jour le

En matière de succession il y a ce que la loi prévoit et il y a ce que vous pouvez organiser de votre vivant. Modifier l’ordre de vos héritiers ou la part qu’ils reçoivent est possible. Et, cela n’est pas réservé à ceux qui possèdent un patrimoine important.

Le début d’année a été marquée par l’étalage au grand jour du conflit qui touche la famille Delon. Alors même que l’icône du cinéma français, âgée de 88 ans, est encore en vie, son clan se déchire et des tensions apparaissent notamment autour du testament de la star qui avantagerait sa fille. Si moralement cela peut heurter, il est permis de privilégier un enfant. Chacun possède une certaine souplesse pour organiser la transmission de ses biens. Tour d’horizon de qu’il est permis de faire.

1. Je peux déshériter un enfant

FAUX. En France, il n’est pas permis de le faire même si vous avez rompu tous liens. Les enfants sont des "héritiers réservataires". La loi leur "réserve" une part minimale de la succession de leur parent. Vous pouvez toutefois, prévoir par testament, de limiter ses droits à ce minimum légal, y compris augmenter la part de certains de vos enfants.

A savoir : en l’absence d’enfant, votre conjoint est aussi héritier (...)

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