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Oubliez sa réputation, le beaujolais nouveau n’est plus ce que vous croyez

Oubliez sa réputation, le beaujolais nouveau n’est plus ce que vous croyez
Publié le , mis à jour le

Si son passé récent l’a desservi auprès des amateurs, le vin primeur du troisième jeudi de novembre a su remonter en gamme.

C’est une date chère à de nombreux professionnels ou amateurs de vin en France et ailleurs. Chaque troisième jeudi du mois de novembre, le beaujolais nouveau arrive chez les cavistes, bars et restaurants. Un jour fixé depuis 1985, afin de simplifier le travail des vignerons et vigneronnes, qui devaient auparavant se caler sur le 15 novembre, tant bien que mal, depuis 1951. «Ce n’était pas simple pour les vignerons de déclarer leurs bouteilles à temps quand le 15 du mois tombait un samedi ou un dimanche», éclaire La Revue du vin de France.

Le magazine mensuel œnologique rappelle au passage que le beaujolais nouveau représente un tiers de la production totale de l’appellation, «soit environ 55 millions de bouteilles par an», souvent vendues entre 8 euros et 12 euros en cave. Il connaît un important succès à l’étranger, en particulier au Japon, où ses fans peuvent en profiter en avant-première à la faveur du décalage horaire et même se baigner dedans.

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