ELLE Debriefe – Fashion Week Jour 1 : Berlines noires, nudité sulfureuse et la bomba Rosalía chez Dior
Dior s’inspire de la jeunesse des années 1960, Rosalía en solo au premier rang, des kilomètres de plumes chez Germanier, la transparence chez Saint Laurent… Tous les jours, ELLE débriefe les coulisses et les buzz de la fashion week parisienne.
Le look : le renouveau Dior
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Le deuxième jour de fashion week automne-hiver 2024-2025 s’est ouvert en fanfare, hier à 14h30. Berlines noires qui envahissent la place de la Concorde et boîte noire géante posée à l’entrée du jardin des Tuileries : pas de doute, on est chez Dior. À la tête de la maison parisienne depuis 2016, Maria Grazia Chiuri s’inspire de la fin des années 1960. Et de la ligne « Miss Dior », destinée aux filles des clientes du 30 avenue Montaigne. Lancée en 1967 par Marc Bohan, le couturier de Dior à l’époque, elle habille la jeunesse frondeuse qui a redéfini les codes mode du siècle dernier. De celle-ci, elle donne une interprétation personnelle, brossant un vestiaire qui mêle grands classiques de la marque à l’esprit pop des filles d’aujourd’hui. Les trenchs sont taggés du logo « Miss Dior », les blousons à carreaux raccourcissent, les jupes sont fendues des deux côtés. Sur la bande-son, Serge Gainsbourg chante « Je t’aime moi non plus » avec Brigitte Bardot. Le ton est donné.
Le come-back : la taille unique d'Ester Manas
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Absente en septembre dernier, la marque Ester Manas, menée par le couple Ester Manas et...
