Alexis et Félix Lebrun, la rupture est totale
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De l’aveu même de leur entraîneur, les frères Lebrun sont entrés dans une nouvelle dimension du fait de leurs performance aux Jeux de Paris.
Il y aura eu un avant et un après pour Alexis et Félix Lebrun. En décrochant deux médailles de bronze aux Jeux Olympiques organisés à Paris, les frères Lebrun ont cassé les barrières, déboulant dans un nouveau monde, qui leur vaut de compter parmi les sportifs préférés des Français.
« Alexis et Félix se font arrêter à tous les coins de rue », a ainsi relevé leur entraîneur Nathanaël Molin dans les colonnes du Midi-Libre, ajoutant: « Il est clair qu’Alexis et Félix vivent quelque chose de fantastique. Il y a un an et demi, nous n’avions pas de sponsor français et je m’en étonnais. Aujourd’hui ça a bien changé… »
Et les frères Lebrun, qui lanceront leur saison à partir de ce week-end au Smash de Singapour, entendent désormais confirmer en 2025. « Sur cette année 2025, l’idée c’est de reprendre un objectif de progression plus en profondeur. 2024 était une année forte en objectifs de compétition avec les JO et l’Euro. Dans leur plan de carrière on a encore besoin de vrais axes de développement, à articuler dans le calendrier où les deux points de passage les plus importants sont les championnats du monde en mai au Qatar puis les championnats d’Europe par équipe en septembre, en Croatie, a encore expliqué Nathanaël Molin. Ce qui nous lie, ce qui nous tient, c’est le désir d’aller chercher de grandes choses, dans des événements extraordinaires. C’est ce qui fait qu’on a envie d’y retourner . »
« Ils peuvent tous les deux étoffer leur vécu. Le temps fera son œuvre, en espérant conserver cette fraîcheur de la jeunesse. Pour Félix, il va y avoir une évolution physique. À 18 ans, il n’est pas à l’âge adulte et sa technique évoluera avec, a-t-il poursuivi. Pour Alexis, c’est dans son vécu de tennis de table. Il a été énormément blessé jeune, en cumul trois à quatre ans de blessures. Félix a trois ans de moins mais a certainement plus d’heures de jeu que son frère. Alexis a besoin de vivre les choses. Pour les deux, l’objectif est de garder les points forts de l’insouciance en gagnant de la précision sur la connaissance d’eux-mêmes et de leurs adversaires. »
Il y aura eu un avant et un après pour Alexis et Félix Lebrun. En décrochant deux médailles de bronze aux Jeux Olympiques organisés à Paris, les frères Lebrun ont cassé les barrières, déboulant dans un nouveau monde, qui leur vaut de compter parmi les sportifs préférés des Français.
« Alexis et Félix se font arrêter à tous les coins de rue », a ainsi relevé leur entraîneur Nathanaël Molin dans les colonnes du Midi-Libre, ajoutant: « Il est clair qu’Alexis et Félix vivent quelque chose de fantastique. Il y a un an et demi, nous n’avions pas de sponsor français et je m’en étonnais. Aujourd’hui ça a bien changé… »
"Aller chercher de grandes choses"
Et les frères Lebrun, qui lanceront leur saison à partir de ce week-end au Smash de Singapour, entendent désormais confirmer en 2025. « Sur cette année 2025, l’idée c’est de reprendre un objectif de progression plus en profondeur. 2024 était une année forte en objectifs de compétition avec les JO et l’Euro. Dans leur plan de carrière on a encore besoin de vrais axes de développement, à articuler dans le calendrier où les deux points de passage les plus importants sont les championnats du monde en mai au Qatar puis les championnats d’Europe par équipe en septembre, en Croatie, a encore expliqué Nathanaël Molin. Ce qui nous lie, ce qui nous tient, c’est le désir d’aller chercher de grandes choses, dans des événements extraordinaires. C’est ce qui fait qu’on a envie d’y retourner . »
« Ils peuvent tous les deux étoffer leur vécu. Le temps fera son œuvre, en espérant conserver cette fraîcheur de la jeunesse. Pour Félix, il va y avoir une évolution physique. À 18 ans, il n’est pas à l’âge adulte et sa technique évoluera avec, a-t-il poursuivi. Pour Alexis, c’est dans son vécu de tennis de table. Il a été énormément blessé jeune, en cumul trois à quatre ans de blessures. Félix a trois ans de moins mais a certainement plus d’heures de jeu que son frère. Alexis a besoin de vivre les choses. Pour les deux, l’objectif est de garder les points forts de l’insouciance en gagnant de la précision sur la connaissance d’eux-mêmes et de leurs adversaires. »
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