"Ça n’a pas de sens", Nelson Monfort se lâche sur les JO 2024
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Nelson Monfort, qui commentera ses derniers Jeux Olympiques cet été, balance sur l'organisation de Paris 2024.
Les Jeux Olympiques, qui auront lieu du 26 juillet au 11 août, approchent et Nelson Monfort sera une fois encore sur le devant de la scène sur les antennes de France Télévisions. À 71 ans, le journaliste sportif vivra à Paris ses derniers JO, dont il n’hésite pas à critiquer l’organisation. Notamment au niveau des mesures de sécurité, qui lui paraissent exagérées.
"À Londres (en 2012), qui est une ville très grande, les ponts n’étaient pas fermés, il n’y a pas eu de QR Code pour rentrer chez soi. Ceux qui allaient aux JO y allaient, ceux qui n’y allaient pas n’y allaient pas. Tout ça se passait très, très bien. Il n’y avait pas d’embouteillage monstrueux comme ceux qu’on connaît (à Paris)", déplore-t-il dans le programme Legend.
Nelson Monfort dénonce aussi l’introduction au programme olympique de nouvelles disciplines comme le breaking. "Pour moi, ça n’a pas de sens, lâche-t-il. Entrer un sport, ça veut dire en faire sortir un autre. La breakdance, c’est un très bon exemple. Elle a remplacé le karaté, pour lequel nous avons un champion qui s’appelle (Steven) Da Costa, qui est champion olympique en titre !"
"Moi, j’ai toujours essayé de comprendre les choses et là, je ne comprends pas, poursuit le commentateur de France Télévisions. On remplace un sport authentique avec un Français encore jeune, champion olympique et prêt à défendre son titre, pour rajeunir (le public). Mais les jeunes, ils ne suivent pas la télévision. Donc moi, je pense que c’est un faux calcul."
"Et puis, bon, je veux dire, je n’ai rien contre la breakdance mais ce n’est quand même pas la finale du 100 mètres, ce n’est pas un marathon. Donc je trouve que c’est assez démago et que c’est contre-productif", conclut-il. Un coup de gueule que Steven Da Costa et les fans de karaté partagent sans doute. Mais il évidemment trop tard pour changer le déroulé de ces JO 2024.
Les Jeux Olympiques, qui auront lieu du 26 juillet au 11 août, approchent et Nelson Monfort sera une fois encore sur le devant de la scène sur les antennes de France Télévisions. À 71 ans, le journaliste sportif vivra à Paris ses derniers JO, dont il n’hésite pas à critiquer l’organisation. Notamment au niveau des mesures de sécurité, qui lui paraissent exagérées.
"À Londres (en 2012), qui est une ville très grande, les ponts n’étaient pas fermés, il n’y a pas eu de QR Code pour rentrer chez soi. Ceux qui allaient aux JO y allaient, ceux qui n’y allaient pas n’y allaient pas. Tout ça se passait très, très bien. Il n’y avait pas d’embouteillage monstrueux comme ceux qu’on connaît (à Paris)", déplore-t-il dans le programme Legend.
Le gros coup de gueule de Nelson Monfort
Nelson Monfort dénonce aussi l’introduction au programme olympique de nouvelles disciplines comme le breaking. "Pour moi, ça n’a pas de sens, lâche-t-il. Entrer un sport, ça veut dire en faire sortir un autre. La breakdance, c’est un très bon exemple. Elle a remplacé le karaté, pour lequel nous avons un champion qui s’appelle (Steven) Da Costa, qui est champion olympique en titre !"
"Moi, j’ai toujours essayé de comprendre les choses et là, je ne comprends pas, poursuit le commentateur de France Télévisions. On remplace un sport authentique avec un Français encore jeune, champion olympique et prêt à défendre son titre, pour rajeunir (le public). Mais les jeunes, ils ne suivent pas la télévision. Donc moi, je pense que c’est un faux calcul."
"Et puis, bon, je veux dire, je n’ai rien contre la breakdance mais ce n’est quand même pas la finale du 100 mètres, ce n’est pas un marathon. Donc je trouve que c’est assez démago et que c’est contre-productif", conclut-il. Un coup de gueule que Steven Da Costa et les fans de karaté partagent sans doute. Mais il évidemment trop tard pour changer le déroulé de ces JO 2024.
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