Cérémonie d’ouverture: La vérité éclate !
Publié le , mis à jour le
Cible de violentes critiques tout en étant saluée par une grande majorité de gens, la cérémonie d’ouverture a rempli son objectif, selon Tony Estanguet.
Les Jeux 2024 sont lancés. Et bien lancés. La cérémonie d’ouverture, vendredi, a bien été le catalyseur attendu, la pluie qui s’est abattue sur Paris au moment de l’événement ne suffisant pas à gâcher la fête. Le spectacle proposé par Thomas Jolly et ses équipes a enthousiasmé le public parisien et les deux milliards de téléspectateurs devant leur télé. Ou tout du moins leur très grande majorité.
La cérémonie d’ouverture a en effet été l’objet de très sévères critiques, certains dénonçant une ode au wokisme. Des critiques qui n’étonnent pas Tony Estanguet, le président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques. « Certains n’ont pas aimé d’autres parties, je le sais mais l’objectif n’était pas que tout plaise à tout le monde », a-t-il confié dans les colonnes du JDD. Une position totalement assumée.
« Je l’assume parce que c’est impossible (de plaire à tout le monde). Plutôt que de proposer quelque chose de très consensuel, un peu fade, on a préféré faire des choix engagés, très forts, qui, selon nous, allaient séduire et conquérir des passionnés, mais aussi faire réfléchir les autres, a-t-il expliqué. C’est bien aussi, de temps en temps, d’avoir des choix qui amènent la réflexion. »
Et Tony Estanguet d’expliquer les choix forts voulus par les organisateurs en soulignant la volonté de s’adresser à tout le monde. « Je trouve qu’on vit dans un pays qui est dingue, capable de faire des choses incroyables. On a une vraie diversité sportive et culturelle, a-t-il souligné. Vendredi soir, c’était ça: du métal, du rap, de la pop, il y avait toutes les ambiances. Certains ont préféré Aya Nakamura, d’autres Céline Dion, mais c’est ça qui est génial, quand on arrive à s’adresser à toutes les générations.»
Les Jeux 2024 sont lancés. Et bien lancés. La cérémonie d’ouverture, vendredi, a bien été le catalyseur attendu, la pluie qui s’est abattue sur Paris au moment de l’événement ne suffisant pas à gâcher la fête. Le spectacle proposé par Thomas Jolly et ses équipes a enthousiasmé le public parisien et les deux milliards de téléspectateurs devant leur télé. Ou tout du moins leur très grande majorité.
La cérémonie d’ouverture a en effet été l’objet de très sévères critiques, certains dénonçant une ode au wokisme. Des critiques qui n’étonnent pas Tony Estanguet, le président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques. « Certains n’ont pas aimé d’autres parties, je le sais mais l’objectif n’était pas que tout plaise à tout le monde », a-t-il confié dans les colonnes du JDD. Une position totalement assumée.
"S’adresser à toutes les générations"
« Je l’assume parce que c’est impossible (de plaire à tout le monde). Plutôt que de proposer quelque chose de très consensuel, un peu fade, on a préféré faire des choix engagés, très forts, qui, selon nous, allaient séduire et conquérir des passionnés, mais aussi faire réfléchir les autres, a-t-il expliqué. C’est bien aussi, de temps en temps, d’avoir des choix qui amènent la réflexion. »
Et Tony Estanguet d’expliquer les choix forts voulus par les organisateurs en soulignant la volonté de s’adresser à tout le monde. « Je trouve qu’on vit dans un pays qui est dingue, capable de faire des choses incroyables. On a une vraie diversité sportive et culturelle, a-t-il souligné. Vendredi soir, c’était ça: du métal, du rap, de la pop, il y avait toutes les ambiances. Certains ont préféré Aya Nakamura, d’autres Céline Dion, mais c’est ça qui est génial, quand on arrive à s’adresser à toutes les générations.»
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