En larmes, Laurent Luyat craque en direct !
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Publié le , mis à jour le
Passionné de sport depuis sa plus tendre enfance, Laurent Luyat a parfois été submergé par l’émotion devant sa télévision.
Comme attendu, Laurent Luyat occupe une place de choix dans le dispositif de France Télévisions depuis le début des Jeux. En plus d’animer les débuts de soirée, l’Isérois enchaîne au Club France pour présenter « Quels jeux ! » aux côtés de Léa Salamé. Et si l’habituelle présentatrice de « Quelle époque ! » est la cible de violentes critiques, le journaliste du service des sports tient son rôle avec son savoir-faire habituel.
Laurent Luyat officie pour France Télévisions sur ses 13es Jeux Olympiques. Surtout, le natif de Grenoble est passionnée de sport depuis sa prime jeunesse comme il l’a récemment expliqué à Ouest France. « Je ne souviens plus exactement de quoi il s’agissait, si c’était une finale de Coupe de France ou de Top 14,s’est-il remémoré. Mais ce dont je me souviens, c’est d’avoir été très marqué par la joie des vainqueurs et la peine des vaincus. Je me suis dit que le sport pouvait véhiculer des émotions incroyables. C’est là qu’est née ma passion pour le sport. »
Et si cette passion lui a valu de grandes joies, notamment professionnellement, elle lui a également procuré de gros chagrins, au point de le faire pleurer devant sa télévision. « Les deux seules fois où j’ai pleuré pour du sport, c’est pour France - Allemagne 1982 et la défaite de McEnroe en finale de Roland-Garros, en 1984, contre Lendl, que je détestais », a-t-il raconté, ajoutant : « J’adorais Noah, j’avais vibré pour lui, mais mon idole était John McEnroe. Quand j’étais gamin, je me jetais sur la télé pour suivre Roland-Garros en rentrant de l’école »
Les succès d’Ivan Lendl, vainqueur en 1984, 1986 et 1987, étaient décidément particulièrement pénibles à vivre. « Si j’ai aussi été marqué par le titre de Noah, je l’ai encore plus été par sa victoire contre Lendl en quart que par la finale, avait-il raconté à Courts Club. Lendl, je le détestais, vraiment ! Son personnage, son jeu, tout… Un gars comme Wilander, son jeu ne faisait pas franchement rêver mais l’homme, au moins, était très attachant. Lendl, il n’avait rien pour lui. »
Comme attendu, Laurent Luyat occupe une place de choix dans le dispositif de France Télévisions depuis le début des Jeux. En plus d’animer les débuts de soirée, l’Isérois enchaîne au Club France pour présenter « Quels jeux ! » aux côtés de Léa Salamé. Et si l’habituelle présentatrice de « Quelle époque ! » est la cible de violentes critiques, le journaliste du service des sports tient son rôle avec son savoir-faire habituel.
Laurent Luyat officie pour France Télévisions sur ses 13es Jeux Olympiques. Surtout, le natif de Grenoble est passionnée de sport depuis sa prime jeunesse comme il l’a récemment expliqué à Ouest France. « Je ne souviens plus exactement de quoi il s’agissait, si c’était une finale de Coupe de France ou de Top 14,s’est-il remémoré. Mais ce dont je me souviens, c’est d’avoir été très marqué par la joie des vainqueurs et la peine des vaincus. Je me suis dit que le sport pouvait véhiculer des émotions incroyables. C’est là qu’est née ma passion pour le sport. »
Lendl, le pire cauchemar de Laurent Luyat
Et si cette passion lui a valu de grandes joies, notamment professionnellement, elle lui a également procuré de gros chagrins, au point de le faire pleurer devant sa télévision. « Les deux seules fois où j’ai pleuré pour du sport, c’est pour France - Allemagne 1982 et la défaite de McEnroe en finale de Roland-Garros, en 1984, contre Lendl, que je détestais », a-t-il raconté, ajoutant : « J’adorais Noah, j’avais vibré pour lui, mais mon idole était John McEnroe. Quand j’étais gamin, je me jetais sur la télé pour suivre Roland-Garros en rentrant de l’école »
Les succès d’Ivan Lendl, vainqueur en 1984, 1986 et 1987, étaient décidément particulièrement pénibles à vivre. « Si j’ai aussi été marqué par le titre de Noah, je l’ai encore plus été par sa victoire contre Lendl en quart que par la finale, avait-il raconté à Courts Club. Lendl, je le détestais, vraiment ! Son personnage, son jeu, tout… Un gars comme Wilander, son jeu ne faisait pas franchement rêver mais l’homme, au moins, était très attachant. Lendl, il n’avait rien pour lui. »
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