Et maintenant, de l'or pour Perrot !
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Impeccable sur les skis et quasi parfait au tir, Éric Perrot a sorti le grand jeu ce mercredi pour décrocher le titre de champion du monde de l’individuel. Juste derrière, Quentin Fillon Maillet s’est contenté de la troisième place derrière Tommaso Giacomel.
« Ça va vraiment le faire ? » s’est demandé Éric Perrot en attendant le passage de Tommaso Giacomel, le seul concurrent a même de lui ravir la première place de cet individuel (20 km) à l’occasion de ces Championnats du monde. L’Italien a finalement franchi la ligne avec plus de cinquante secondes de retard sur le Français qui a dès lors exulté.
Ce mercredi en fin d’après-midi, le natif de Bourg-Saint-Maurice a décroché le titre de champion du monde de la spécialité à Lenzerheide, son deuxième en Suisse après celui obtenu sur le relais mixte il y a quelques jours. Ajoutez à cela sa troisième place lors de la poursuite et vous obtenez le palmarès provisoire d’Eric Perrot dans ces Mondiaux.
Tout au long de la course, le biathlète de 23 ans a fait parler sa science du tir malgré une petite erreur lors de son deuxième passage devant les cibles. Pour le reste, cela a été un sans-faute et le Français a vraiment été éclatant sur les skis pour s’assurer, au minimum, d’une place sur le podium.
https://x.com/FedFranceSki/status/1892235108033183758
Dans cet individuel où la réussite au tir est primordiale, la Norvège n’a pas existé puisqu’aucun de ses représentants ne s’est classé parmi les participants à la cérémonie des fleurs. Johannes Boe (15/20), Tarjei Boe (18/20), Sturla Laegreid (18/20) ont terminé loin derrière, pas dans un bon jour aussi bien sur les skis que sur le tir.
Quentin Fillon Maillet a un temps espéré obtenir le titre mais ses trois erreurs ont condamné les chances du Tricolore qui a tout de même réussi, au prisme d’un effort brutal, à aller chercher une magnifique troisième place.
Comme indiqué plus haut, Tommaso Giacomel a aussi espéré lever les bras sur la plus haute marche du podium mais l’Italien - après un dernier 5/5 d’Éric Perrot lors du dernier tir debout - a craqué sur l’avant-dernière balle, le condamnant de ce fait à une dernière boucle à vitesse grand V manquée pour moins d’une minute. C'est le quatrième titre mondial pour la France.
« Ça va vraiment le faire ? » s’est demandé Éric Perrot en attendant le passage de Tommaso Giacomel, le seul concurrent a même de lui ravir la première place de cet individuel (20 km) à l’occasion de ces Championnats du monde. L’Italien a finalement franchi la ligne avec plus de cinquante secondes de retard sur le Français qui a dès lors exulté.
Ce mercredi en fin d’après-midi, le natif de Bourg-Saint-Maurice a décroché le titre de champion du monde de la spécialité à Lenzerheide, son deuxième en Suisse après celui obtenu sur le relais mixte il y a quelques jours. Ajoutez à cela sa troisième place lors de la poursuite et vous obtenez le palmarès provisoire d’Eric Perrot dans ces Mondiaux.
Tout au long de la course, le biathlète de 23 ans a fait parler sa science du tir malgré une petite erreur lors de son deuxième passage devant les cibles. Pour le reste, cela a été un sans-faute et le Français a vraiment été éclatant sur les skis pour s’assurer, au minimum, d’une place sur le podium.
https://x.com/FedFranceSki/status/1892235108033183758
QFM troisième
Dans cet individuel où la réussite au tir est primordiale, la Norvège n’a pas existé puisqu’aucun de ses représentants ne s’est classé parmi les participants à la cérémonie des fleurs. Johannes Boe (15/20), Tarjei Boe (18/20), Sturla Laegreid (18/20) ont terminé loin derrière, pas dans un bon jour aussi bien sur les skis que sur le tir.
Quentin Fillon Maillet a un temps espéré obtenir le titre mais ses trois erreurs ont condamné les chances du Tricolore qui a tout de même réussi, au prisme d’un effort brutal, à aller chercher une magnifique troisième place.
Comme indiqué plus haut, Tommaso Giacomel a aussi espéré lever les bras sur la plus haute marche du podium mais l’Italien - après un dernier 5/5 d’Éric Perrot lors du dernier tir debout - a craqué sur l’avant-dernière balle, le condamnant de ce fait à une dernière boucle à vitesse grand V manquée pour moins d’une minute. C'est le quatrième titre mondial pour la France.
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