Ferrand-Prévot décroche le graal olympique
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Publié le , mis à jour le
Pauline Ferrand-Prévot est devenue championne olympique de VTT cross-country ce dimanche sur le site de la colline d’Elancourt. La consécration suprême.
Elle avait tout gagné jusqu’alors. « Il ne me manque que ce titre », soufflait-elle ces jours-ci encore, entre détermination et émotion. Pauline Ferrand-Prévot l’a fait, sacrée championne olympique de VTT cross-country ce jeudi sur la colline d’Elancourt, en région parisienne. L’aboutissement d’une riche carrière jalonnée de 15 titres mondiaux toutes disciplines confondues.
Pour aller chercher son graal à domicile, la championne de 32 ans n’a rien laissé au hasard, se portant en tête du peloton d’entrée de jeu ou presque, après quelques coups de pédales donnés dans la roue de la Néerlandaise Puck Pieterse. Les sept tours au menu, ainsi, l’intéressée les a bouclés aux commandes, prenant rapidement une trentaine de secondes d’avance sur la meute durant la deuxième boucle. Un avantage qu’elle n’a cessé de faire croître.
D’une domination implacable ce jour, Pauline Ferrand-Prévot a littéralement lâché la concurrence – et notamment sa compatriote Loana Lecomte, victime d’une effroyable chute et contrainte à l’abandon avec une commotion cérébrale à la clef – pour offrir à la France une cinquième médaille dans ces Jeux ; la deuxième en or après le sacre du rugby à 7. Ses premières dauphines – l’Américaine Haley Batten et la Suédoise Jenny Rissveds terminent à 2’57 et 3’02 respectivement.
« Je savais que ne devais pas commettre la moindre erreur aujourd’hui. Je suis restée concentrée du début à la fin donc je n’ai pas vraiment profité du public… Je vais le faire maintenant ! » Maintenant que la malédiction olympique est brisée. Enfin. Anonyme 26e à Londres en 2012, contrainte à l’abandon à Rio lors d’une année 2016 maudite et 10e à Tokyo en 2021 après des soucis mécaniques notamment, "PFP" cette fois a pu faire parler sa supériorité. Et coiffer la plus belle des couronnes, celle qu’elle méritait tant.
Elle avait tout gagné jusqu’alors. « Il ne me manque que ce titre », soufflait-elle ces jours-ci encore, entre détermination et émotion. Pauline Ferrand-Prévot l’a fait, sacrée championne olympique de VTT cross-country ce jeudi sur la colline d’Elancourt, en région parisienne. L’aboutissement d’une riche carrière jalonnée de 15 titres mondiaux toutes disciplines confondues.
Pour aller chercher son graal à domicile, la championne de 32 ans n’a rien laissé au hasard, se portant en tête du peloton d’entrée de jeu ou presque, après quelques coups de pédales donnés dans la roue de la Néerlandaise Puck Pieterse. Les sept tours au menu, ainsi, l’intéressée les a bouclés aux commandes, prenant rapidement une trentaine de secondes d’avance sur la meute durant la deuxième boucle. Un avantage qu’elle n’a cessé de faire croître.
La malédiction brisée
D’une domination implacable ce jour, Pauline Ferrand-Prévot a littéralement lâché la concurrence – et notamment sa compatriote Loana Lecomte, victime d’une effroyable chute et contrainte à l’abandon avec une commotion cérébrale à la clef – pour offrir à la France une cinquième médaille dans ces Jeux ; la deuxième en or après le sacre du rugby à 7. Ses premières dauphines – l’Américaine Haley Batten et la Suédoise Jenny Rissveds terminent à 2’57 et 3’02 respectivement.
« Je savais que ne devais pas commettre la moindre erreur aujourd’hui. Je suis restée concentrée du début à la fin donc je n’ai pas vraiment profité du public… Je vais le faire maintenant ! » Maintenant que la malédiction olympique est brisée. Enfin. Anonyme 26e à Londres en 2012, contrainte à l’abandon à Rio lors d’une année 2016 maudite et 10e à Tokyo en 2021 après des soucis mécaniques notamment, "PFP" cette fois a pu faire parler sa supériorité. Et coiffer la plus belle des couronnes, celle qu’elle méritait tant.
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