Gabart dit stop
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A 42 ans, l'ancien vainqueur du Vendée Globe, de la Route du Rhum et de la Transat Jacques Vabre François Gabart annonce ce jeudi dans L'Equipe qu'il arrête la compétition, afin de faire un grand tour du monde avec ses enfants.
Une page de la vie de François Gabart se tourne. A seulement 42 ans, le marin a décidé d'arrêter la compétition afin de se consacrer à sa famille. C'est ce qu'il révèle ce jeudi dans les colonnes de L'Equipe. A la tête de l'un des plus beaux palmarès de la voile française au XXIe siècle, le skipper veut encore faire le tour du monde, mais plus dans le cadre d'une course. Au mois d'octobre, il partira donc avec sa femme et ses trois garçons de 13, 7 et 5 ans sur un catamaran en contreplaqué, pour une durée de trois ans.
« J'ai envie de partir en voyage, en famille, en bateau. C'est aussi simple que ça. Je l'ai en moi depuis très longtemps, depuis que j'ai des enfants... On va passer par les Caraïbes, Panama, le Pacifique, la Nouvelle-Zélande, probablement remonter par l'Indonésie, l'océan Indien, l'Afrique du Sud et remonter l'Atlantique. J'ai envie d'explorer une partie du monde que je ne connais pas, de découvrir aussi, comme les peuples des mers du Pacifique. Pour mieux comprendre le monde dans lequel je vis. Et faire l'école à mes enfants », détaille le vainqueur du Vendée Globe 2012-13, de la Transat Jacques-Vabre 2015 et de la Route du Rhum 2014 (entre autres) qui, à l'âge de 6 ans, était également parti faire le tour du monde aves ses parents pendant un an.
François Gabart assure qu'il n'a pas de regrets de quitter la compétition, qui lui a offert beaucoup de moments de bonheur, et quelques désillusions, comme cette défaite pour sept minutes face à Francis Joyon sur la Route du Rhum ou ses cinq tentatives ratées de remporter le Trophée Jules Verne. "J'ai eu la chance de faire des choses incroyables dans cette voile de compétition, je me suis construit en tant qu'être humain. Je ne regrette rien, toutes ces années ont été belles, tourmentées aussi", reconnait-il. Et comme il n'aura que 45 ans, quand il reviendra de son tour du monde en famille, l'envie de concourir lui reviendra peut-être...
Une page de la vie de François Gabart se tourne. A seulement 42 ans, le marin a décidé d'arrêter la compétition afin de se consacrer à sa famille. C'est ce qu'il révèle ce jeudi dans les colonnes de L'Equipe. A la tête de l'un des plus beaux palmarès de la voile française au XXIe siècle, le skipper veut encore faire le tour du monde, mais plus dans le cadre d'une course. Au mois d'octobre, il partira donc avec sa femme et ses trois garçons de 13, 7 et 5 ans sur un catamaran en contreplaqué, pour une durée de trois ans.
« J'ai envie de partir en voyage, en famille, en bateau. C'est aussi simple que ça. Je l'ai en moi depuis très longtemps, depuis que j'ai des enfants... On va passer par les Caraïbes, Panama, le Pacifique, la Nouvelle-Zélande, probablement remonter par l'Indonésie, l'océan Indien, l'Afrique du Sud et remonter l'Atlantique. J'ai envie d'explorer une partie du monde que je ne connais pas, de découvrir aussi, comme les peuples des mers du Pacifique. Pour mieux comprendre le monde dans lequel je vis. Et faire l'école à mes enfants », détaille le vainqueur du Vendée Globe 2012-13, de la Transat Jacques-Vabre 2015 et de la Route du Rhum 2014 (entre autres) qui, à l'âge de 6 ans, était également parti faire le tour du monde aves ses parents pendant un an.
Gabart : "Toutes ces années ont été belles, tourmentées aussi"
François Gabart assure qu'il n'a pas de regrets de quitter la compétition, qui lui a offert beaucoup de moments de bonheur, et quelques désillusions, comme cette défaite pour sept minutes face à Francis Joyon sur la Route du Rhum ou ses cinq tentatives ratées de remporter le Trophée Jules Verne. "J'ai eu la chance de faire des choses incroyables dans cette voile de compétition, je me suis construit en tant qu'être humain. Je ne regrette rien, toutes ces années ont été belles, tourmentées aussi", reconnait-il. Et comme il n'aura que 45 ans, quand il reviendra de son tour du monde en famille, l'envie de concourir lui reviendra peut-être...
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