Il offre sa médaille d’or à un joueur privé de médaille
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L’avant-dernière journée des JO de Paris 2024 a donné lieu à un geste de grande classe du côté du volley tricolore.
Ils l’ont fait ! Trois ans après leur sacre à Tokyo, les volleyeurs français ont su conserver leur titre olympique à domicile, samedi, en dominant sans partage la Pologne en finale des Jeux de Paris 2024 (25-19, 25-20, 25-23), à l’Arena Paris Sud.
Lors de la cérémonie protocolaire, au sommet du podium, Trévor Clévenot, l’un des grands artisans de cette nouvelle consécration majuscule, a eu un geste d’un altruisme rare, en ôtant sa médaille d’or pour la mettre au cou de Timothée Carle – lequel lui a rendue dans la foulée.
Treizième homme du collectif tricolore retenu par Andrea Giani, le réceptionneur-attaquant de Berlin, qui la saison prochaine évoluera en Pologne, n’a pas disputé une seule minute de ce tournoi olympique et des six rencontres jouées par les Bleus. Aussi a-t-il été privé de breloque malgré son investissement pour l’équipe au quotidien.
« Il fait partie du groupe. Ça me parait assez étonnant », s’est indigné l’ex-international Yannick Bazin sur les ondes de RMC, appelant de ses vœux un geste de la Fédération française de volley ou du Comité international olympique. L’image, un tantinet mesquine, avait été observée de la même manière la veille sur le podium du football masculin. Le gardien de but auxerrois Théo De Percin y était apparu sans médaille lui non plus au côté de ses coéquipiers argentés.
Ils l’ont fait ! Trois ans après leur sacre à Tokyo, les volleyeurs français ont su conserver leur titre olympique à domicile, samedi, en dominant sans partage la Pologne en finale des Jeux de Paris 2024 (25-19, 25-20, 25-23), à l’Arena Paris Sud.
Lors de la cérémonie protocolaire, au sommet du podium, Trévor Clévenot, l’un des grands artisans de cette nouvelle consécration majuscule, a eu un geste d’un altruisme rare, en ôtant sa médaille d’or pour la mettre au cou de Timothée Carle – lequel lui a rendue dans la foulée.
La même scène au football
Treizième homme du collectif tricolore retenu par Andrea Giani, le réceptionneur-attaquant de Berlin, qui la saison prochaine évoluera en Pologne, n’a pas disputé une seule minute de ce tournoi olympique et des six rencontres jouées par les Bleus. Aussi a-t-il été privé de breloque malgré son investissement pour l’équipe au quotidien.
« Il fait partie du groupe. Ça me parait assez étonnant », s’est indigné l’ex-international Yannick Bazin sur les ondes de RMC, appelant de ses vœux un geste de la Fédération française de volley ou du Comité international olympique. L’image, un tantinet mesquine, avait été observée de la même manière la veille sur le podium du football masculin. Le gardien de but auxerrois Théo De Percin y était apparu sans médaille lui non plus au côté de ses coéquipiers argentés.
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